Le chef de la puissante centrale syndicale tunisienne, l'UGTT, a rejeté jeudi les réformes réclamées par le Fonds monétaire international (FMI) pour accorder un prêt à la Tunisie.
"Nous refusons ces conditions (du FMI) en raison du faible niveau des salaires, du manque des moyens et de la hausse du taux de pauvreté et du chômage", a déclaré à la presse le secrétaire général de Union générale tunisienne du travail (UGTT), Noureddine Taboubi.
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