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Nos Lecteurs ont la Parole

Un amour qui n’a pas de prix

Avec le début du printemps censé avec ses fleurs porter bonheur, il est triste de voir avec la fête des Mères mon cœur si brisé, divisé entre enfants qui vivent à l’étranger et qui voulaient à tout prix revenir au pays du Cèdre (là où il faisait, sous un ciel clément, bon vivre) et d’autres qui ne trouvent plus rien à faire depuis l’explosion du 4 août dernier et qui ne pensent qu’à quitter au plus vite. Et avec l’inflation galopante et la famine qui frappent à nos portes, et surtout avec l’insouciance de nos responsables que personne ne veut déloger ou juger, on se demande pour la première fois depuis 1975 pourquoi nous continuons à vivre dans ce pays où les moindres droits de la femme ne sont point respectés et où seule la loi de la jungle triomphe toujours. Ainsi, nos filles au cas où elles seraient mariées à des étrangers n’ont et n’auront jamais le droit de donner leur nationalité à leurs enfants, ce qui encourage les nouvelles générations à divorcer avec la mère patrie. Notons aussi que le rôle de la mère de nos jours est si important pour l’avenir de notre société qu’il ne faut pas le laisser au second plan par rapport à une autre activité, aussi payante ou aussi utile soit-elle. Combien de fois la mère veille et pleure en silence la nuit pour s’inquiéter de ses enfants, de leur santé, de leurs études, de leurs problèmes matrimoniaux ?... Combien de fois la mère prie pour ses enfants afin d’alléger leurs souffrances? Même quand les enfants ont grandi et qu’ils arrivent à avoir des problèmes de toute sorte, la mère s’inquiète et s’inquiétera toujours. L’amour d’une mère n’a pas de prix car son amour est sans attente, un amour inconditionnel qui donne tout, simplement, sans rien exiger en retour. Respectez-la, messieurs les responsables, pour qu’ensemble on puisse rebâtir une nation moderne où tout le peuple sera traité à pied d’égalité.


Les textes publiés dans le cadre de la rubrique « courrier » n’engagent que leurs auteurs et ne reflètent pas nécessairement le point de vue de L’Orient-Le Jour. Merci de limiter vos textes à un millier de mots ou environ 6 000 caractères, espace compris.

Avec le début du printemps censé avec ses fleurs porter bonheur, il est triste de voir avec la fête des Mères mon cœur si brisé, divisé entre enfants qui vivent à l’étranger et qui voulaient à tout prix revenir au pays du Cèdre (là où il faisait, sous un ciel clément, bon vivre) et d’autres qui ne trouvent plus rien à faire depuis l’explosion du 4 août dernier et qui ne...

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