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Agenda - Hommage

Jocelyne Khoueiry, six mois déjà !...

Chère Jocelyne

L’année 2021 s’ouvre et déjà un mois s’est écoulé !... Pour la première fois, nous ne nous sommes pas souhaité « Bonne Année ». D’ailleurs en avons-nous vraiment le cœur alors que 2020 s’est refermée avec l’inquiétante nouvelle de l’hospitalisation de Poussy (Massoud Achkar) qui, finalement, nous a quittés ! Paix à son âme !

Durant ces six mois et depuis le 31 juillet, les départs se succèdent : Nazo le 4 août, Joseph Zayek et Poussy en un triste 11 janvier… La liste est douloureusement longue.

Pourtant, à ma façon, je veux te présenter mes vœux et te dire combien ton absence nous pèse et ta présence nous manque, chère amie de plus de quarante ans. Je vais le faire en reprenant un appel cher à saint Jean-Paul II que tu aimais tant et dont le centre que nous avons fondé ensemble porte le nom.

À Częstochowa, les Polonais s’adressent ainsi à la Vierge Marie : « Je suis près de toi, je me souviens, je veille. »

Jocelyne, au nom des membres de La Libanaise-Femme du 31 mai, je veux te dire : « Nous sommes là, nous nous souvenons, nous veillons. »

Nous sommes là pour poursuivre la mission que nous avons commencée ensemble.

Nous nous souvenons des moments partagés et du travail accompli.

Nous veillons, soucieuses que ta figure et l’esprit qui t’animait ne soient ni travestis ni récupérés.

Repose en paix et continue à veiller !...

Pour « La Libanaise-Femme du 31 mai »

Chère Jocelyne
L’année 2021 s’ouvre et déjà un mois s’est écoulé !... Pour la première fois, nous ne nous sommes pas souhaité « Bonne Année ». D’ailleurs en avons-nous vraiment le cœur alors que 2020 s’est refermée avec l’inquiétante nouvelle de l’hospitalisation de Poussy (Massoud Achkar) qui, finalement, nous a quittés ! Paix à son âme !
Durant ces six mois et depuis le 31 juillet, les départs se succèdent : Nazo le 4 août, Joseph Zayek et Poussy en un triste 11 janvier… La liste est douloureusement longue.
Pourtant, à ma façon, je veux te présenter mes vœux et te dire combien ton absence nous pèse et ta présence nous manque, chère amie de plus de quarante ans. Je vais le faire en reprenant un appel cher à saint Jean-Paul II que tu aimais tant et dont le centre que nous...