Deux erreurs se sont glissées dans l’article de May Makarem intitulé « À Wadi Abou Jmil, la synagogue de Beyrouth panse ses plaies », paru hier dans ces mêmes colonnes. Tout d’abord, les fonds nécessaires à la restauration de la synagogue en 2010 n’ont pas été collectés auprès des membres de la diaspora juive, mais l’intégralité de l’opération a été financée par le banquier libano-suisse Edgar de Picciotto, avec une petite participation de la société Solidere. À l’entrée de la synagogue, un pavillon porte d’ailleurs le nom de ce bienfaiteur. Quant aux rouleaux de la Torah, ils ont été ramenés de Suisse à Beyrouth par son épouse Danièle de Picciotto. D’autre part, la communauté signale qu’une centaine de juifs vivent toujours au Liban, et non pas 29, comme l’a indiqué Nagi Gergi Zeidan à L’Orient-Le Jour. Et c’est cette communauté qui a débloqué une enveloppe pour restaurer les dégâts subis par la double explosion du port, le 4 août dernier.
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Rendons à César
OLJ / le 11 novembre 2020 à 00h00
commentaires (1)
Quels bons souvenirs je garde des marriages auquel j ai assisté à cette synagogue de toute beauté A tous les Mizrahi. Les moghrabi les elisha les sassoon Les safra. Les battat. Mes amis de Beyrouth que Dieu vous bénisse et protège toujours , en espérant votre retour dans votre pays : Avec toute mon amitié indéfectible Baruch HaShem
Robert Moumdjian
05 h 09, le 12 novembre 2020