Vue sur le port de Beyrouth, le 10 septembre 2020. Photo Nabil Ismail.
"La fumée peut inclure des composés hautement toxiques et cancérigènes, du carbone noir et des gaz acides", a indiqué sur Twitter l'ONG pour la protection de l'environnement. "Les pneus qui brûlent produisent des particules fines, de la fumée visible et des cendres, mais aussi des polluants organiques volatiles qui peuvent être inhalés même en dehors du nuage de fumée", a souligné Greenpeace. De son côté, la professeure universitaire Najat Saliba, spécialiste en chimie atmosphérique, a appelé sur Twitter les habitants à "rester à la maison et à fermer les fenêtres", les invitant à garder un masque sur leur visage.
L'incendie a réveillé la douleur des Libanais encore sous le choc de l'explosion meurtrière et dévastatrice au port de Beyrouth le 4 août.
Greenpeace a mis en garde jeudi les habitants de Beyrouth contre des particules "toxiques" pouvant se trouver dans l'épaisse fumée noire provoquée par un incendie dans le port de la capitale libanaise. L'incendie a touché un entrepôt du port où étaient stockés de l'huile mais aussi des pneus, selon l'armée libanaise. Tout au long de l'après-midi, le ciel de Beyrouth s'était recouvert...
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