L'ex-Premier ministre et chef du courant du Futur, Saad Hariri, a dénoncé mardi "les nouveaux venus" au lendemain des affrontements armés qui ont lieu lundi soir dans le quartier beyrouthin de Tarik Jdidé, un de ses fiefs, et qui ont fait un mort et deux blessés. M. Hariri n'a pas précisé à qui il faisait référence.
Dans un communiqué publié la nuit dernière, l'armée a indiqué que des armes automatiques et des roquettes de type RPG ont été utilisées. Selon des médias locaux, ces affrontements font suite à une rixe entre deux familles qui avait débuté dimanche soir.
"Tarik Jdidé et ses habitants bien aimés ne permettront pas aux nouveaux venus de sortir le quartier de la légitimité et de la légalité", a écrit Saad Hariri sur son compte Twitter. "L'intimidation des citoyens et l'usage d'armes de guerre dans les conflits personnels ne seront pas acceptés. Nous resterons aux côtés des habitants de Tarik Jdidé. Tout Beyrouth est issu de l'école de Rafic Hariri, attachée à l’État, à la légitimité et à la loi", a-t-il conclu.
La nuit dernière, Baha' Hariri, qui tente de s'imposer en tant qu'alternative politique au courant du Futur sur la scène sunnite, a fermement condamné "le crime qui résulte (de l'usage) des armes illégales à Beyrouth". De son côté, le mufti de la République, le cheikh Abdellatif Deriane, a dénoncé ce qu'il a qualifié de "combats fratricides".
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L'ex-Premier ministre et chef du courant du Futur, Saad Hariri, a dénoncé mardi "les nouveaux venus" au lendemain des affrontements armés qui ont lieu lundi soir dans le quartier beyrouthin de Tarik Jdidé, un de ses fiefs, et qui ont fait un mort et deux blessés. M. Hariri n'a pas précisé à qui il faisait référence. Dans un communiqué publié la nuit dernière, l'armée a indiqué que des armes automatiques et des roquettes de type RPG ont été utilisées. Selon des médias locaux, ces affrontements font suite à une rixe entre deux familles qui avait débuté dimanche soir. "Tarik Jdidé et ses habitants bien aimés ne permettront pas aux nouveaux venus de sortir le quartier de la légitimité et de la légalité", a écrit Saad Hariri sur son compte Twitter. "L'intimidation des citoyens et l'usage d'armes de guerre dans les...
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