Le groupe parlementaire aouniste a condamné mardi "les actions violentes" et "les atteintes contre les symboles religieux", après les tensions confessionnelles qui ont éclaté samedi soir en marge de la manifestation anti-pouvoir.
Dans ce contexte, il a mis en garde la contestation contre "les objectifs politiques suspects qui peuvent la faire échouer, alors qu'elle doit se poursuivre pour que les réformes qu'elle réclame soient mises en œuvre".
Sur un autre plan, les députés aounistes ont insisté sur l'importance pour le gouvernement de procéder aux nominations nécessaires, notamment dans le secteur financier, "et de combler les vides aux postes de mohafez (...) afin de corriger l'injustice faite à la communauté grecque-orthodoxe, en référence au poste de mohafez de Beyrouth.
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