L’association Journalistes contre la violence a condamné le vol, dans la nuit de dimanche à lundi, du téléphone portable de Dima Sadek, journaliste vedette de la chaîne LBCI constamment sous les feux des critiques des partisans du Hezbollah. « Il s’agit d’un plan visant à terroriser Mme Sadek, à s’informer sur son travail avec la LBCI ainsi que sur sa vie familiale et professionnelle », a indiqué l’association dans un communiqué publié hier, où elle dénonce également « les agressions perpétrées à l’encontre de manifestants pacifiques sur la voie du Ring par des groupes partisans ».
L’association a par ailleurs condamné les agressions perpétrées contre Layal Bou Moussa, correspondante d’al-Jadeed, Rémie Derbas, correspondante de la LBCI, Nawal Berry et Zeina Bassil, correspondantes de la MTV, ainsi que le journaliste Joseph Tok. La fondation SKeyes recense également l’agression du caméraman de Sky News Arabia, Hassan Rajeh, qui a été visé par des jets de pierres de la part des partisans du tandem chiite alors qu’il couvrait les manifestations. SKeyes rapporte que Nawal Berry et le caméraman Khalil Akiki ont été encerclés par des partisans du Hezbollah et d’Amal dans un immeuble à Gemmayzé, avant d’être évacués par les forces de sécurité.
commentaires (2)
LES MEMES ! TOUJOURS LES MEMES ! RIEN QUE LES MEMES !
LA LIBRE EXPRESSION
14 h 29, le 26 novembre 2019