Sept civils ont été tués mardi par des bombardements de l'armée syrienne dans la province d'Idleb, qui échappe quasi-totalement au régime de Bachar el-Assad et est dominée par des jihadistes de l'ex-branche d'el-Qaëda, a rapporté l'Observatoire syrien des droits humains (OSDH).
Cette province du nord-ouest de la Syrie fait l'objet depuis septembre d'un accord négocié par Moscou, allié du régime, et Ankara, qui parraine certains groupes rebelles à Idleb, ayant permis d'empêcher une offensive de l'armée syrienne contre ce bastion dominé depuis janvier par les jihadistes de Tahrir al-Cham (HTS).
Quatre enfants et deux femmes figurent parmi les 7 victimes des tirs de roquette de l'armée sur la ville de Khan Cheikhoun, ont indiqué l'OSDH et la défense civile qui a en outre fait état de 12 blessés.
Des semaines de pilonnage par l'aviation et l'artillerie syriennes de plusieurs villes et localités de la province d'Idleb, notamment celle de Khan Cheikhoun, ont provoqué depuis le début, en février, de l'escalade militaire contre le bastion jihadiste, l'une des vagues de déplacements les plus importantes de cette région de trois millions d'habitants depuis l'accord russo-turc conclu en septembre.
Cet accord visait à créer une "zone démilitarisée" séparant les secteurs insurgés des zones gouvernementales attenantes. Mais l'accord n'a été que partiellement appliqué face au refus des jihadistes de se retirer de la future zone tampon.
Déclenché en mars 2011, le conflit en Syrie a fait plus de 370.000 morts et déplacé plus de 13 millions de personnes.
Cette province du nord-ouest de la Syrie fait l'objet depuis septembre d'un accord négocié par Moscou, allié du régime, et Ankara, qui parraine certains groupes rebelles à Idleb, ayant permis d'empêcher une offensive de l'armée syrienne contre ce bastion dominé depuis janvier par les jihadistes de Tahrir al-Cham (HTS).
Quatre enfants et deux femmes figurent parmi les 7 victimes des tirs de roquette de l'armée sur la ville de Khan Cheikhoun, ont indiqué l'OSDH et la défense civile qui a en outre fait état de 12 blessés.
Des semaines de pilonnage par l'aviation et l'artillerie syriennes de plusieurs villes et localités de la province d'Idleb, notamment celle de Khan Cheikhoun, ont provoqué depuis le début, en février, de l'escalade militaire contre le bastion jihadiste, l'une des vagues de déplacements les plus importantes de cette région de trois millions d'habitants depuis l'accord russo-turc conclu en septembre.
Cet accord visait à créer une "zone démilitarisée" séparant les secteurs insurgés des zones gouvernementales attenantes. Mais l'accord n'a été que partiellement appliqué face au refus des jihadistes de se retirer de la future zone tampon.
Déclenché en mars 2011, le conflit en Syrie a fait plus de 370.000 morts et déplacé plus de 13 millions de personnes.
Sept civils ont été tués mardi par des bombardements de l'armée syrienne dans la province d'Idleb, qui échappe quasi-totalement au régime de Bachar el-Assad et est dominée par des jihadistes de l'ex-branche d'el-Qaëda, a rapporté l'Observatoire syrien des droits humains (OSDH).Cette province du nord-ouest de la Syrie fait l'objet depuis septembre d'un accord négocié par Moscou, allié...
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