Rechercher
Rechercher

Sport

Le Brexit, préoccupation majeure pour la F1

« Oui, le Brexit est une préoccupation majeure pour nous et devrait l’être pour tous ceux d’entre nous qui vivent et travaillent » au Royaume-Uni, a affirmé Toto Wolff, patron de l’écurie Mercedes, au cours d’un point de presse lors des essais hivernaux sur le circuit de Barcelone. « Nous sommes des écuries de F1 qui voyageons pour (disputer) des courses au moins 21 fois par an, nous circulons dans et hors du Royaume-Uni, les personnes qui travaillent pour nous entrent et sortent du pays », a précisé le dirigeant de l’écurie allemande. Plusieurs écuries, dont Renault, Williams ou McLaren, sont implantées au Royaume-Uni, l’actuel champion du monde, Lewis Hamilton, pilote de Mercedes, est britannique, et le Grand Prix d’Angleterre, prévu cette année le 14 juillet à Silverstone, est l’un des grands rendez-vous du championnat du monde. « Nous obtenons des pièces et des services à la dernière minute du Royaume-Uni, et toute perturbation majeure dans le domaine des frontières ou des taxes douanières nuirait considérablement à l’industrie de la F1 », a poursuivi Wolff. Son écurie est allemande, mais une partie de ses activités s’exercent au Royaume-Uni. En sport comme en politique, le Brexit, aux modalités encore incertaines, suscite de nombreuses inquiétudes. Pour autant, selon Wolff, la F1 n’ose envisager pour le moment le pire, qui serait de délocaliser les activités de la F1 hors du Royaume-Uni.

« Oui, le Brexit est une préoccupation majeure pour nous et devrait l’être pour tous ceux d’entre nous qui vivent et travaillent » au Royaume-Uni, a affirmé Toto Wolff, patron de l’écurie Mercedes, au cours d’un point de presse lors des essais hivernaux sur le circuit de Barcelone. « Nous sommes des écuries de F1 qui voyageons pour (disputer) des courses au moins 21...

commentaires (0)

Commentaires (0)

Retour en haut