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Lifestyle - Quelqu’un m’a dit

Art et bonne action pour traverser la crise...

On reconnaît de gauche à droite : Raya Daouk, India Abdini, Leila Solh et Chucri Sader.

Leila a sa couronne et Dany… son roi

Conformément au calendrier, le 6 janvier est la journée biblique de l’Épiphanie, et comme chaque année, India Abdini la consacre à la famille et à ses petits-enfants ; ensuite, elle choisit une date au pif pour la célébrer avec les amis. Une bonne raison ce 23 janvier de faire la fête, en partageant un somptueux dîner avec Nicolas et Léa Tuéni, Nayla Moawad, Raya Daouk, Youssef et Mona Lahoud, Liliane et Dr Youssef Comair, François et Gaby Abisaab, Joe Issa el-Khoury, Raja Salam, Raffy et Joumana Debbané, et une cinquantaine d’invités qui ont cherché allègrement si la fève s’était égarée dans leur part de galette. Et bingo ! C’est Leila Solh Hamadé qui l’a tirée. Couronnée reine d’un soir, elle n’a plus rien à envier à ses sœurs, les princesses Mona et Lamia. Ni même à la princesse Ghida Talal de Jordanie présente au dîner. Quant à Jean-Marie Mégarbané, il était tout aussi heureux d’être promu roi, et Dany aux côtés de son royal époux applaudissait avec enthousiasme. Mona Hraoui et Hoda Siniora ont dégainé leur iPhone pour immortaliser le sacre des gagnants, suivies par DJ Mitri qui a fait tonner ses platines pour marquer l’événement, entraînant les amateurs de la danse à faire leurs pas, et à brûler les calories ingurgitées ce soir-là.

Citons aussi parmi les présents Robert et Viviane Ghanem, Chucri et Amal Sader, Camille et Leila Ziadé, Samir Moubarak, Roby et Tania Arab, Fouad el-Khazen, Samir et Laura Lahoud, Viviane

Debbas, Elham Raphaël, Raëda Kassar, Andrée Tayar, Gaby et Mimi Tamer, sans oublier Samir et Joyce Mokbel ainsi que les ambassadeurs de France Bruno Foucher, d’Italie Massimo Marotti, de Suisse Monika Schmutz Kirgoz, dont la table était superanimée, dit-on. Aux côtés de l’hôtesse très brindille en veste velours noire et jupe dorée Armani, son fils Philippe Abdini n’a pas raté la soirée. Tout va pour le mieux au pays des miracles !

L’art, c’est la vie… de Robert

C’est à l’auditorium du prestigieux musée Sursock que le magazine PICTORAM de la Fondation Robert A. Matta (RAM) a lancé son dernier numéro dédié à l’art libanais et à la culture, ainsi qu’une nouvelle publication hors série axée sur la musique arabo-orientale. Pilotée par la rédactrice en chef Randa Sadaka, la revue annuelle poursuit depuis cinq ans son traditionnel parcours des musées et galeries, et les réalisations majeures de la fondation. Pour réaffirmer l’importance de l’art dans la société, ils sont venus nombreux assister à l’évènement. Il y avait notamment l’ex-ministre de la Culture Raymond Araïji, l’ancien délégué du Liban auprès de l’Unesco l’ambassadeur Khalil Karam, les férus d’art Nadine Begdache, Nour Salamé, Saleh Barakat, Christine Tohmé, Martha Hraoui, Fadia Antar et Bassel Dalloul. On rencontrait aussi Khalil Hraoui, Nayla de Freige, Maha Arida, Joumana Yarak, Kim Issa, Aïda Kassab, Dr Elsa Ghossoub, Dr Nabil Okais, Sarah Chalabi Khalil, Johnny et Christiane Sarkis, Naji et Hoda Skaff, et d’autres encore. Tout ce beau monde a visionné un épisode de 5 de Pic (programme hebdomadaire coproduit par la fondation RAM et Télé Liban consacré aux peintres, sculpteurs ou photographes, et qui entame sa troisième saison à l’antenne…). Ce soir-là, le sujet concernait l’étonnante œuvre picturale de l’ancien PDG de la Banque de l’habitat Joseph Sassine.

Prolongeant le plaisir de ces instants d’art, l’équipe de PICTORAM a également offert un « happening » aux spectateurs : une performance de Raed Bou Kamel au nay et Afif Merhej au oud. Ce qui a enchanté Nidaa Abou Mrad, Odile Mazloum, Aziz Wardé, Fadia Antar et David Corm qui se sont retrouvés ensuite au restaurant du musée autour d’un verre.

La B.A. d’Anaïs, Adriana et Rayya

Vous allez totalement fondre pour ces trois petites, Anaïs, Adriana et Rayya. Écrivaines en herbe, Anaïs Kasparian et Adriana Chaptini ont décidé de raconter une belle et touchante histoire d’une fleur aux pouvoirs magiques : elle guérit les malades et rend heureux les gens autour d’elle. Mais la méchante sorcière a décidé de la détruire pour l’empêcher de faire du bien. S’ensuit une lutte qui se termine bien, heureusement. Au fur et à mesure que l’histoire se concrétisait dans leur esprit, Adriana et Anaïs, âgées de 7 ans, décidèrent de mettre sur papier leurs idées et c’est ainsi que naquit le livre qu’elles ont écrit à deux mains. Rayya Khodr, six ans et très douée pour le dessin, s’appliqua aussitôt à accompagner d’illustrations le récit de ses copines. Elles choisirent la couleur de la couverture et suivirent pas à pas l’élaboration de la maquette et la production du livre chez l’imprimeur. Ensuite, les trois amies n’ont eu qu’un souci : faire une bonne action en vendant le livre au profit des enfants de SOS Village Bhersaf. Organisée par la mère d’Adriana, Rafa Chaptini, une séance de signature leur a permis d’en vendre 150. Du pur bonheur pour les trois amies, qui s’en allèrent allègrement remettre la somme encaissée à M. Jean Paul, le directeur de SOS Village Bhersaf. Aujourd’hui, elles brandissent fièrement leurs reçus respectifs, remis par le responsable de l’association.

Amusant à noter, le livre a été publié avec leur calligraphie et sans qu’aucune correction d’orthographe ne soit faite. Aussi peut-on lire « une vois douse et tendre », « tu sai toujour » ou encore « les habiten du village ne guérice jamais » !

ditavonbliss@hotmail.com

Leila a sa couronne et Dany… son roi Conformément au calendrier, le 6 janvier est la journée biblique de l’Épiphanie, et comme chaque année, India Abdini la consacre à la famille et à ses petits-enfants ; ensuite, elle choisit une date au pif pour la célébrer avec les amis. Une bonne raison ce 23 janvier de faire la fête, en partageant un somptueux dîner avec Nicolas et Léa Tuéni,...

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