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Liban - Hommage

Sélim Abou ou le dernier tango

Sélim Abou. Photo Michel Sayegh

Je ne sais pas pourquoi le nom de Sélim Abou s.j. est lié – du moins pour moi – au tango !

C’est peut-être parce qu’il avait invité, pour célébrer le 125e anniversaire de l’USJ, un orchestre de tango.

Ou bien c’est peut-être parce que pour danser le tango il faut être deux.

Ou bien encore parce que le tango est surtout passion, finesse et raffinement.

Partout où il est passé, au CCU, à l’École des lettres, à la faculté, au rectorat, aux presses de l’USJ, la musique lui tenait compagnie... On sentait les deux parfums : son cigarillo et le tango.

Celui qui est parti nous avait introduit au tango, c’est-à-dire auprès de la passion, du raffinement et de la finesse.

Là-bas, je suis presque sûr, J. Ducruet s.j, J. Zaarour, L. Pouzet s.j, M. Chamoun, R. Chamussy s.j. et bien d’autres ne manqueront pas, en l’accueillant, d’écouter avec lui un tango... le dernier… ou le premier.


Je ne sais pas pourquoi le nom de Sélim Abou s.j. est lié – du moins pour moi – au tango ! C’est peut-être parce qu’il avait invité, pour célébrer le 125e anniversaire de l’USJ, un orchestre de tango.Ou bien c’est peut-être parce que pour danser le tango il faut être deux. Ou bien encore parce que le tango est surtout passion, finesse et raffinement.Partout où il...

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