Jair Bolsonaro, élu dimanche à la présidence du Brésil, s'est vu décerner nombre de surnoms, dont celui de "Trump des tropiques". Mais la Maison Blanche tient à souligner les limites de l'exercice.
"A mon avis, il n'y a qu'un seul Donald Trump!", a répondu, amusée, Sarah Sanders, porte-parole du président américain, interrogée lundi sur cette comparaison.
Rejetant l'étiquette d'extrême droite, M. Bolsonaro a lui alimenté, mi-octobre, le parallèle avec le locataire de la Maison Blanche avec qui il partage un goût marqué pour la provocation et les déclarations fracassantes.
"Je suis un admirateur du projet de Trump. Il veut une Amérique grande, moi je veux un Brésil grand", avait-il expliqué, mettant en particulier en exergue la question de l'immigration.
Si le magnat de l'immobilier n'avait aucune expérience politique lorsqu'il a été élu à la Maison Blanche en novembre 2016, c'est loin d'être le cas de Jair Bolsonaro, qui siège à la chambre des députés depuis 27 ans.
Rejetant l'étiquette...
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