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Lifestyle - Quelqu’un m’a dit

Invités de marque et événements : un début d’automne scintillant

De gauche à droite : Nicolas Gharzouzi, Ghattas Khoury, Michèle Gharzouzi, Florian Craen et Henri-Louis Bauer.

Hermès en met plein les yeux !

Deux créatures de lumière, l’une coiffée d’un immense demi-cercle soutenant des miroirs et véhiculant la dualité du jour et de la nuit, un oiseau posé sur son sceptre ; l’autre parée de talismans et arborant un immense soleil en paille tressée, montaient la garde devant le magasin Hermès. Scintillant comme un joyau dans la nuit, la boutique a rouvert ses portes après six mois de travaux, offrant désormais un espace de 300 m² et un aménagement entièrement repensé par l’agence d’architecture d’intérieur RDAI, en charge de la conception des magasins Hermès dans le monde. Une réception somptueuse a marqué l’inauguration qui s’est déroulée dans une ambiance ambrée, où l’or des épis de blé se reflétait dans les mille miroirs dorés parsemés sur la place Bab Idriss où paradait une fanfare pour l’occasion. Nicolas et Michèle Gharzouzi y recevaient plus de 700 invités dont Mirna Boustani, Samir et Laura Lahoud, Viviane Debbas, toute la famille Raphaël (Elham, Walid, Yasmina, Raya et Zeina), Nada Salamé, Diane Fadel, Gaby et Mimi Tamer, Jacques et Nicole Sarraf, Bassel et Ghida Rabbat, Maha Chaer, Amina Choucair, Basma Rabah, Hania Rayess, Dana Mikati, Amal Ibrahim, Sami et Marie-Noëlle Rabbat, Marc et Caroline Tabourian, Sélim et Mirna Bocti, Jihane Alamé (sans Ragheb) Claudine Saab et Mario Saradar.

Autour du ministre sortant de la Culture Ghattas Khoury, qui a coupé le ruban avec les Gharzouzi, Florian Craen, directeur général d’Hermès et Henri-Louis Bauer, président du conseil de gérance d’Émile Hermès SARL, on croisait Raymond et Mona Chammas, Antoine et Carol Kareh, Alia Arab, Dina Mehio, Loubna et Samir Mansour, Lina Shaker, May Daher, Roula et Jamal Itani, May el-Khalil, Rose et Lena Choueiri, Oussama et Lina Choucair, et la general manager des lieux Aline Baddour. Plus loin, Georges et Carole Choucair, Nathalie Khoury, Gary et Lara Chekerjian, Youmna Abou Jaoudé et Laura Nassar, Nabil et Line Kassar se pâmaient de plaisir devant un somptueux buffet réalisé par Nicolas Audi.

Le Premier ministre Saad Hariri, venu souhaiter la baraka, s’est attardé sur les pièces exceptionnelles exposées dans la boutique dont une selle d’équitation en crocodile et un babyfoot entièrement revêtu de cuir maison, avant de se prêter au jeu des selfies devant une foule subjuguée qui a poursuivi la soirée sous la pleine lune avec DJ Câline, et des percussionnistes, saxophonistes et trompettistes venus d’outremer.


De Portofino… au Sérail

L’alcool étant prohibé au Grand Sérail, le dîner de gala de l’association Assameh Birth & Beyond, présidé par le Pr Robert Sacy, a débuté aux Thermes romains, où il a été servi à gogo, et les invités en ont allègrement profité avant d’être transportés par un service de navette au siège du gouvernement. Là, ils n’avaient plus qu’à jouir de la fête, comblés par les prestations de Tania Kassis, des Charbel (version libanaise des Enfoirés), d’Alessandro Ristori et des Portofinos. Ces derniers, venus de Monaco, à l’invitation de Danièle de Picciotto, ont déployé leur rock’n’roll des années 50 américaines, les sonorités italiennes des années 60 et les atmosphères de la « dolce vita ». Avec un brin de folie bien à lui, il n’en fallait pas plus à Alessandro de diffuser sa joie de vivre et se déchaîner pour ses fans, parmi lesquels Danièle de Picciotto, Carlo Ayoub, Jean-Paul Zebouni, Nicolas et Salwa Tuéni, Marie-Claude Boustani, Névine Imad, Tony Pano et d’autres encore qui, profitant d’un petit intermède, ont partagé un délicieux dîner préparé par La Mie dorée.

Le Premier ministre Saad Hariri n’a pu faire qu’une brève apparition, ponctuée d’un discours.

Venus soutenir l’œuvre de Assameh Birth & Beyond, dont l’objectif est d’assurer aux bébés prématurés et aux enfants les soins médicaux nécessaires, l’ancien ministre Maurice Sehnaoui, les ministres sortants Ghassan Hasbani, Ghattas Khoury et Michel Pharaon, les députés Ziad Hawat et Tarek Merhebi, ainsi que Zafer et Tonia Chaoui, le président Chucri Sader et son épouse Amale, Roger et Joëlle Nasnas, Jacquot Ayoub, Diane Araman, Fouad Fleifel, Fadi Fawaz. Présents aussi, Lama Salam et Leila Solh Hamadé, qui se promet de lancer un projet avec Assameh en 2019 ; Louise Mecattaf, Elham Raphaël, Rima Bohsali, Caroline Bacha. Dans l’assistance également, Lara Debs, Gaby et Mimi Tamer, le Dr Sleiman Merhege, Hala et Alia Chaaraoui, Élissar Caracalla Chéhab, Marwan Francis, la famille Sacy au grand complet, les membres du conseil d’administration de la Quarantaine, notamment le Dr Michel Matar, et la directrice générale Karen Saliba. Côté organisation, Neda Farah (société Eventions) et Cherine Saroufim Sacy (son et lumière IALD).


Une liste de mariage… particulière

Un nombre de cadres et employés de Google, YouTube, Intel et autres géants du numérique de 31 nationalités différentes étaient à Beyrouth pour célébrer le mariage de Amer Deeba et Rose Mary Cremesti. Cette dernière, qui a fait ses études à l’Université américaine de Beyrouth, est responsable des entreprises partenaires de Google pour les Amériques et fondatrice de la cartographie écosystème Maps for Business Partner. Quant au Libanais Amer Deeba, il a été jusqu’à récemment directeur général de Qualys Inc., fournisseur de services de sécurité liés au Cloud et en poste au Delaware. Installé en Californie, le couple a choisi The Legend Venue, à Nahr el-Kalb, pour festoyer avec les parents et faire découvrir aux copains et collègues étrangers la Lebanese Way of Life. Dabké, danse orientale et groupe de musique brésilien ont émaillé la soirée organisée par Neiman Azzi Events et Cat&Mouth, et qualifiée par les invités d’équilibre parfait entre opulence et élégance. Toutes les familles de Marjeyoun, village d’origine du marié, étaient présentes, ainsi que les amis, notamment Richie Haykal, Simone Kosremelli, Nicolas et Michèle Gharzouzi (au top de son élégance), Amal Hourani, Saleh et Hala Barakat, Samer el-Amine, Nassouh el-Amine, le collectionneur d’art anglais Andrew Wynn et son épouse libanaise Nada Bayoud, des médecins de l’AUBMC, notamment Samer Deeba, Samer Doughan, Karen Karam et Ali Hallal, sans oublier l’oncle maternel du marié, le ministre sortant Ghattas Khoury. La traditionnelle « liste de mariage » était très particulière : les nouveaux mariés avaient prié leurs convives de remplacer les éventuels cadeaux de mariage par des dons pour la construction d’une école à Marjeyoun.


Nouvelle étape pour Mayssa

Une raison de plus d’être fiers de nos Libanais à l’international : Mayssa, fille de Khalil Chehab et épouse de Bernard Sfeir, prend la direction du Marketing Science de Facebook France. Elle a pour mission de « bâtir et développer la stratégie de mesure d’efficacité des actions marketing des partenaires, des annonceurs et de leurs agences sur les plateformes du groupe ». Spécialiste de la mesure d’audience, de la mesure d’efficacité média et des insights consommateurs chez Google de 2007 à 2018, Mayssa Chehab a débuté sa carrière chez Booz Allen Hamilton puis chez Accenture, une des plus grandes entreprises de conseil dans le monde.


Party Arty avec Nayla et Michel

On a beau ne plus savoir où donner de la tête à la nocturne des galeries, le clou de la soirée a été l’exposition des œuvres d’artistes cubains et sud-américains proposées par Michel Daher, alias South Border Gallery, qui a connu un record d’affluence avant de prendre l’allure d’une big party animée par des musiciens cubains. L’événement s’est tenu dans la magnifique maison de Zoé et Nabil Debs, à Gemmayzé. Une demeure centenaire qui sera transformée en un hôtel de charme dirigé par Marie-Jo Taleb, croit-on comprendre.

Autre point fort, l’expo de Jean Boghossian, organisée par la galerie Tanit dans les anciens locaux de L’Orient au centre-ville. Elle a été suivie d’un dîner offert par Nayla Kunigk à la Crypte Saint-Joseph, qui a réuni autour de l’artiste 120 invités, dont Salim Daccache s.j., Rafi Manoukian, Marianne Hélou, Georges et Maha Zard, Rami et Malak el-Nemr, Fadia Antar, curatrice de la Fondation Ramzi, et Saeda Dalloul, Maya Maamarbachi (en solo, Razek se trouvant en voyage), Mazen et Bouchra Salha, Randa Armanazi, Eddy Abdini, Marc et Hala Cochrane, Saleh et Hala Barakat, Teddy Hatem, Samir Hadchiti, qui était ravi de rencontrer son ancienne prof à l’USJ Mary Salamé. Il y avait aussi Ghassan Abou Jaoudé, Khaled Samaoui, Sid Rouis, directeur de l’Institut culturel français de Deir el-Qamar, Amine et Fifi Abou Khaled, qui se sont délectés d’un baba au rhum « unique », préparé par Nicolas Audi. Après dîner, cap sur Sky Bar, où les œuvres de Boghossian étaient projetées du sol au plafond, dans une ambiance musicale survoltée. L’artiste avait débarqué à Beyrouth avec sa compagne Katy Van Keer, son curateur Bruno Corat et un nombre d’amis, notamment l’architecte belge et grand collectionneur Marc Cobiau, Aurore Vaucelle de La Libre Belgique, les galeristes Valérie Bach et James Van Dam, la milliardaire thaïlandaise Marisa Chearavanont, marchande d’œuvres d’art et épouse d’un des héritiers du groupe Charoen Pokphand et Chia Taï, un conglomérat sino-thaïlandais spécialisé dans l’agroalimentaire, les télécommunications et le commerce de détail. Une escapade dans la Békaa a été organisée pour le groupe afin de visiter une des écoles fondée par l’association Kayani pour les enfants des réfugiés syriens, financée par la Fondation Boghossian. Ceci avant de poursuivre leur chemin jusqu’à Baalbeck.

Par ailleurs, des dîners ont été donnés en leur honneur par Dany et Jean-Marie Mégarbané, India Abdini et Nabil Nahas dans sa magnifique demeure à Aïn Aar.


ditavonbliss@hotmail.com

Hermès en met plein les yeux ! Deux créatures de lumière, l’une coiffée d’un immense demi-cercle soutenant des miroirs et véhiculant la dualité du jour et de la nuit, un oiseau posé sur son sceptre ; l’autre parée de talismans et arborant un immense soleil en paille tressée, montaient la garde devant le magasin Hermès. Scintillant comme un joyau dans la nuit, la boutique a rouvert...

commentaires (2)

La vie sociale et mondaine du Liban étonne et détonne. On ne trouve pas cela partout dans le monde. quelle vivacité! Bravo

Shou fi

23 h 10, le 02 octobre 2018

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Commentaires (2)

  • La vie sociale et mondaine du Liban étonne et détonne. On ne trouve pas cela partout dans le monde. quelle vivacité! Bravo

    Shou fi

    23 h 10, le 02 octobre 2018

  • Décidément, aujourd'hui encore l'OLJ nous présente une fille de..., épouse de...à croire que les femmes n'existent que par leur père ou conjoint. C'est moi ou c'est le Moyen-âge?

    Marionet

    02 h 11, le 02 octobre 2018

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