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Sport

Échos du Mondial

Goldman Sachs voit le Brésil champion
Le Brésil prenant sa revanche sur l’Allemagne en finale du Mondial ? Ce qui n’est qu’un rêve pour Neymar et ses compères est une probabilité statistique pour la banque Goldman Sachs, qui a tenté d’adapter ses savants modèles économiques à un football bourré d’incertitudes pour pronostiquer l’issue de la Coupe du monde. Dans une étude, la banque se base sur pas moins de 200 000 modèles de machine learning (apprentissage automatique) exploitant des données sur les caractéristiques des équipes, les joueurs, les performances récentes, etc. La France, elle, s’en sort plutôt bien : les Bleus ont d’ailleurs, selon Goldman Sachs, une probabilité plus grande que l’Allemagne de gagner le Mondial (11,3 % contre 10,7 %). Le Portugal sera lui aussi au rendez-vous selon la banque, qui le voit battre de justesse l’Argentine en quarts avant de caler devant la Mannschaft en demies.

L’Islande compte sur ses « Russes » pour refaire le coup de l’Euro
Si l’Islande découvre le Mondial, trois de ses joueurs connaissent au moins la Russie : Ragnar Sigurdsson, Sverrir Ingason et Bjorn Sigurdarson y sont un peu comme « à la maison », eux qui jouent en club à Rostov, où les Vikings rencontreront la Croatie le 25 juin. La petite île, qui a vécu un conte de fées à l’Euro 2016 où elle a créé la surprise en atteignant les quarts de finale, a été reversée dans un groupe relevé aux côtés de l’Argentine, du Nigeria et de la Croatie. Mais avec ses trois « Russes », elle espère disposer d’un petit plus pour déjouer à nouveau les pronostics.

Portugal vs Espagne : le petit frère contre le grand
En 1494, Portugal et Espagne s’étaient partagé le Nouveau Monde, avec l’assentiment du pape. Cinq siècles plus tard, les frères ibériques se départageront vendredi au Mondial, transposition sportive d’une rivalité héréditaire entre l’aîné espagnol, si sûr de lui, et le puîné portugais, longtemps complexé. À Sotchi, la première affiche de la Coupe du monde opposera deux pays qui ont dompté les océans et construit de fabuleux empires, après avoir tracé une ligne de partage du monde lors du fameux traité de Tordesillas, il y a 500 ans. Impossible de séparer l’histoire du Portugal de celle de l’Espagne : entre les deux voisins, qui ont obéi au même monarque entre 1580 et 1640, les cultures sont semblables et la passion pour le ballon rond est commune. Proches géographiquement, les deux nations le sont aussi sportivement : lorsque la Selecção portugaise a joué son tout premier match en 1921, c’était contre la Selección espagnole, victorieuse (3-1) à Madrid et posant ainsi les bases d’un ascendant durable vis-à-vis de son voisin.

La FIFA désigne aujourd’hui l’organisateur du Mondial 2026
Qui du challenger marocain, qui rêve de devenir le deuxième pays africain à accueillir le Mondial, ou du trio États-Unis/Canada/Mexique, favori, sera chargé d’accueillir en 2026 la première Coupe du monde à 48 équipes ? Verdict aujourd’hui, à l’issue du congrès de la FIFA à Moscou. L’examen des dossiers réussi, place maintenant à la dernière épreuve : plus de dix jours après la validation des deux candidatures par la « task force », commission d’évaluation qui avait en théorie le pouvoir d’écarter un dossier, le duel entre le Maroc et « United 2026 » sera départagé par 207 fédérations membres de l’instance, lors d’un scrutin organisé à la veille de l’ouverture du Mondial en Russie. Inquiet à l’idée d’être éliminé avant de livrer bataille, le Maroc est toujours en lice mais semble partir avec du retard. Son dossier a obtenu une note globale de 2,7/5 contre 4/5 pour le trio États-Unis/Canada/Mexique, au regard d’une série de critères définis (infrastructures, hébergement, transports, budget, etc.).

Goldman Sachs voit le Brésil championLe Brésil prenant sa revanche sur l’Allemagne en finale du Mondial ? Ce qui n’est qu’un rêve pour Neymar et ses compères est une probabilité statistique pour la banque Goldman Sachs, qui a tenté d’adapter ses savants modèles économiques à un football bourré d’incertitudes pour pronostiquer l’issue de la Coupe du monde. Dans une étude, la...

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