La déclaration de l'organisation séparatiste basque ETA, reconnaissant "la douleur" causée par sa lutte armée et sa "responsabilité directe" dans celle-ci, est la conséquence de la force de l'Etat de droit, a réagi le gouvernement espagnol dans un communiqué vendredi.
"Ce n'est qu'une nouvelle conséquence de la force de l'Etat de droit qui a vaincu l'ETA avec les armes de la démocratie", déclare le gouvernement du conservateur Mariano Rajoy. "Cela fait très longtemps que l'ETA aurait du demander pardon", ajoute le communiqué.
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