« La voix, le 6 mai, est comme une balle : soit elle doit servir à tuer votre ennemi, soit à se suicider. » C’est ce qu’a affirmé hier l’ancien directeur de la Sûreté générale et candidat à l’un des sièges chiites de Baablbeck-Hermel, le général à la retraite Jamil Sayyed, lors d’un meeting électoral de soutien à la liste parrainée par le Hezbollah à Baalbeck, en présence notamment du secrétaire général adjoint du Hezbollah, le cheikh Naïm Kassem. Selon le général Sayyed, « l’attaque menée contre la résistance et la Syrie » lors de la campagne électorale « vise à rameuter un soutien financier et politique de la part des ennemis de l’axe de la résistance ». Pour le cheikh Kassem, « l’attaque massive de la part du camp adverse contre cette région vise à prendre la résistance pour cible, dans la mesure où elle est née ici et où elle constitue le grenier des résistants qui se renouvelle sans cesse ».
Liban
Sayyed et les balles…
OLJ / le 16 avril 2018 à 00h00