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Guterres presse le Liban d'appliquer Taëf, la 1559 et la Déclaration de Baabda

Le secrétaire général de l'ONU, António Guterres, est revenu à la charge au sujet des armes du Hezbollah et du danger qu'elles font peser sur le Liban. Dans son rapport cyclique sur la mise en œuvre de la résolution 1701 du Conseil de sécurité (2006), et sur la prolifération des armes "non autorisées", le chef de l'Onu ne s'est pas contenté cette fois d'appeler à la mise en application de cette résolution, mais a pressé le gouvernement de mettre en œuvre également la 1559 (2004) ainsi que l'accord de Taëf, qui prévoient le désarmement et la dissolution de toutes les milices.

"La détention d'armes non autorisées par le Hezbollah demeure très préoccupante. Les opérations que ce groupe mène dans la zone frontalière orientale révèlent l'ampleur de son arsenal militaire qui échappe au contrôle de l'Etat. Je note avec inquiétude que le Hezbollah emploie et fait étalage de cet arsenal sans se cacher", prévient le secrétaire général de l'Onu dans son rapport.

Ce document de 17 pages, accompagnées d'annexes, fait l'objet de consultations au Palais de verre. Le secrétaire général presse ensuite le gouvernement libanais de "reprendre le dialogue national pour définir une stratégie de défense qui réglerait la question de la présence d'individus et de groupes armés échappant au contrôle de l'Etat". António Guterres rappelle que "l'armée libanaise est la seule force légitime chargée de défendre la sécurité, la souveraineté et l'intégrité territoriale du Liban".

Le secrétaire général de l'ONU, António Guterres, est revenu à la charge au sujet des armes du Hezbollah et du danger qu'elles font peser sur le Liban. Dans son rapport cyclique sur la mise en œuvre de la résolution 1701 du Conseil de sécurité (2006), et sur la prolifération des armes "non autorisées", le chef de l'Onu ne s'est pas contenté cette fois d'appeler à la mise en...