La Française Audrey Azoulay, choisie vendredi pour être la prochaine directrice générale de l'Unesco, a estimé que les pays membres devaient "s'impliquer" dans l'organisation, qui traverse une crise, et "non pas la quitter", au lendemain de l'annonce du retrait des Etats-Unis et d'Israël
Soulignant que l'Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture traversait des temps difficiles, Mme Azoulay a déclaré: "Dans un moment de crise, il faut plus que jamais s'impliquer, chercher à la renforcer, et non pas la quitter".
Au terme d'un processus électoral entamé lundi, très serré et riche en rebondissements, l'ancienne ministre française de la Culture a obtenu 30 voix et son adversaire qatari Hamad Al-Kawari 28, au sein des 58 membres du conseil exécutif. Leur choix doit être encore validé par la conférence générale des Etats membres le 10 novembre.
Mme Azoulay a répété que la "première chose à laquelle elle s'attacherait", si la conférence générale la confirme en novembre, serait "de restaurer la crédibilité" de l'organisation "et la confiance des Etats membres".
Soulignant que l'Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture traversait...
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