Nokia pourrait supprimer 597 postes en France d'ici fin 2019 dans les fonctions centrales et support dans le cadre d'un plan de transformation qui ne concerne pas les services de recherche et développement (R&D), a déclaré mercredi une porte-parole.
Les sites de Paris-Saclay/Boulogne et de Lannion (Côtes-d'Armor) seraient concernés par le projet de transformation mais les filiales Radio Frequency Systems (RFS) et Alcatel Submarine Networks (ASN) en sont exclues, a précisé la porte-parole.
"Nokia s'efforcera de limiter autant que possible le nombre de départs contraints et mettra tout en oeuvre pour proposer des mesures d'accompagnement", a-t-elle ajouté dans un message transmis à Reuters.
A Bercy, un porte-parole a dit que le ministère des Finances réunirait "dans les prochaines semaines" représentants des syndicats et direction au sein d'un comité de suivi des engagements pris par Nokia lors de la fusion avec Alcatel Lucent bouclée début 2016.
Les sites de Paris-Saclay/Boulogne et de Lannion (Côtes-d'Armor) seraient concernés par le projet de transformation mais les filiales Radio...
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