Rechercher
Rechercher

Lifestyle - Beirut Holidays

Les papys font de la résistance

Chris de Burgh au festival Beirut Holidays. Photo Wadih Chlink

Chris de Burgh (68 ans) mi-britannique, mi-irlandais, s'est éclaté hier au BIEL, dans le cadre du festival Beirut Holidays, avec un public libanais qu'il fréquente depuis 20 ans. Au programme, les chansons de son nouvel album A Better World et beaucoup d'inusables tubes. Parmi les nouveaux thèmes, ceux des migrants et des millions de sans-abri jetés par la pauvreté sur les mers et les routes du monde. « Avec 25 albums et 3 500 concerts, j'ai commencé ma carrière avant que beaucoup d'entre vous soient nés », lance-t-il. Mais les papys sont là également, aussi nombreux que les jeunes.
Complainte de l'exilé, du déplacé, du réfugié, du migrant, ballades des champs de bataille, chansons de mélancolie et d'espoir, visages, voyages, occasions, océans, patrie... Autant de thèmes et de mots qui revenaient comme une rengaine. Le monde et la vie comme un bal masqué, les ballades du déchirement et comment les hommes peuvent trouver de la sagesse dans la barbarie de la guerre. Et le déchaînement final des aigus de la guitare et du tonnerre de la batterie. Papy Sindbad de Burgh fait décidément de la résistance !

Chris de Burgh (68 ans) mi-britannique, mi-irlandais, s'est éclaté hier au BIEL, dans le cadre du festival Beirut Holidays, avec un public libanais qu'il fréquente depuis 20 ans. Au programme, les chansons de son nouvel album A Better World et beaucoup d'inusables tubes. Parmi les nouveaux thèmes, ceux des migrants et des millions de sans-abri jetés par la pauvreté sur les mers et les...

commentaires (0)

Commentaires (0)

Retour en haut