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Lifestyle - Quelqu’un m’a dit

Artistes et stylistes mènent la danse

À Palerme, les bijoux de Raya Daouk n’avaient rien à envier à ceux de D.

Du glam pour les invités de Taha Mikati
Une virée à Palerme pour Taha et Nada Mikati qui ont invité sur leur luxueux bateau Raya Daouk, Nada Ghandour, Garo et Sonia Chekerjian. Ils étaient parmi les 400 invités internationaux des célèbres créateurs Domenico Dolce et Stefano Gabbana. À travers les défilés Alta Moda pour la femme, Alta Sartoria pour l'homme, et la présentation de la collection de haute joaillerie, les deux stylistes ont offert une ode à la capitale sicilienne, ville natale de Domenico Dolce. Les shows se sont déroulés à la Piazza Pretoria, au Palazzo Gangi et place du port, et se sont étalés sur quatre jours ponctués de fêtes fastueuses. Pour marquer le début de cet événement, les cloches des églises de Palermo ont carillonné, et, pour la clôture, un gigantesque feu d'artifice a embrasé le ciel, jusqu'à faire pâlir l'Etna ! Les Mikati et leurs invités ont profité de leur séjour pour visiter également des palais privés, avant de faire cap sur Capri.

 

Si j'avais à décerner le lion d'or...
À Kfour, Antoine et Janine Maamari ont réuni autour de notre ambassadeur à la 57e Biennale de Venise, l'artiste plasticien et musicien Zad Moultaka, un nombre d'amis : Camille et Leila Ziadé, Roy et Aïda Karaoglan, l'architecte Galal Mahmoud et son épouse Micha, Nagib et Nadine Begdache, Naïla Kunigk, Isabelle Doumit Skaff, les cofondatrices de Art Motion et créatrices d'événements culturels, Rania Tabbara et Rania Halawi, l'historienne d'art Marie Tomb, Pascale Sakr et Antonio Vincenti, le marchand d'art Gabriel Rizkalla, Maya Maarbachi (Art Scoops), Amal Makarem, et d'autres encore.

À l'heure où la presse internationale continue de célébrer son œuvre, la modestie de Zad Moultaka a épaté les convives. Tout récemment, France Inter a relevé que « l'artiste libanais signe la plus fascinante installation poétique et politique de la Biennale ». ŠamaŠ (Soleil noir), « is something to see », signale le New York Times du 22 mai dernier. Sur les 120 exposants, Paris Match cite dans un « parcours fléché » (19 mai) une dizaine d'artistes, dont Damien Hirst, Olafur Eliasson, la Franco-Américaine Sheila Hicks, le Japonais Shimabuk, l'artiste Anne Imhof qui a obtenu le lion d'or, ainsi que Zad Moultaka et son « opéra sonore et visuel envoûtant, qui apaise l'âme ». C'est toutefois le professeur en philosophie Marc Belit, ex-conseiller artistique au ministère français de la Culture, et président de la Scène nationale Le Parvis Tarbes-Pyrénées, qui lui rend le plus bel hommage. Dans un article paru le 12 juin dans son blog, il écrit : « Si d'aventure j'avais à décerner le lion d'or de cette Biennale, mon choix serait vite fait car l'événement de cette Biennale pour moi est dans la découverte du magnifique et inattendu pavillon libanais (...). Zad Moultaka propose avec Soleil noir une œuvre qui aurait mérité, haut la main et très au-dessus du lot, le lion d'or cette année (...). De cet artiste hors normes, on devrait entendre reparler. » Zad est aux anges, on le serait à moins. La Biennale de Venise est considérée comme l'une des manifestations les plus prestigieuses en Europe et dans le monde. Le Graal des plasticiens !

P. S. : La galerie Janine Rubeiz invite le public à une rencontre avec Zad Moultaka en marge de laquelle sera projeté un documentaire sur l'œuvre. Demain mercredi 12 juillet au musée Sursock à 19h.

 

Sunflower seeds pour Marie-Hélène
Ai Weiwei, l'artiste emblématique de l'art contemporain chinois et militant des droits de l'homme, de renommée mondiale, s'est offert un moment de détente avec sa famille, au Liban. La photo qui a circulé la semaine dernière sur les réseaux sociaux remonte au mois dernier. Suite à ses deux séjours au Liban au cours desquels il avait visité les camps des réfugiés syriens, il avait promis à sa famille de lui faire découvrir le pays du Cèdre. Chose promise, chose due. Il a donc débarqué avec sa femme, son fils unique, Ai Lao, sa sœur et son beau-frère, un ami chinois collectionneur d'œuvres d'art, et sa garde rapprochée.

Pour tout ce beau monde, il a réservé un étage entier chez Olivier et Marie-Hélène Gougeon à la villa Clara – Mar Mikhaël – où, semble-t-il, il a apprécié le yogourt artisanal à la gousse de Madagascar. Il a cependant tenu à fabriquer personnellement son tofu. Quant à son fils Ai Lao, on ne peut pas dire qu'il s'est ennuyé avec Patrick, le fils des propriétaires des lieux. Même si les deux enfants n'avaient que l'expressivité de leurs mains et de leurs yeux pour seul langage, le petit Chinois était si content qu'il ne voulait plus repartir. Papa Ai Weiwei lui a alors promis de faire un crochet par Leros où Patrick allait passer ses vacances d'été. En partant, l'artiste a offert à Marie-Hélène une écharpe en soie de sa série « Sunflower seeds ».

Ensuite, toute la smala a mis le cap sur le Chouf pour un dîner à Moukhtara chez Walid et Nora Joumblatt, et une nuitée à l'hôtel Mir Amine. Puis trois jours ont été consacrés à découvrir le merveilleux site de Baalbeck et celui de Byblos où Ai Weiwei a retrouvé son grand copain Joe Khalifé, fervent collectionneur de perles (beats) phéniciennes.

 

L'ex-Pink Floyd attend-il Rula ?
Deux dîners en l'honneur de l'écrivaine et journaliste italienne d'origine palestinienne, Rula Jebreal, dont le roman La Route des fleurs de Miral, adapté en film, avait fait l'objet d'une polémique alimentée par les organisations juives et le gouvernement israélien. Ce dernier avait en vain essayé d'empêcher la projection du film dans la salle de l'Assemblée générale de l'Organisation des Nations unies le 13 mars 2011, à laquelle ont assisté des acteurs dont Robert De Niro et Sean Penn. Deux dîners donc, dont l'un chez Youmna et Ricardo Karam qui ont réuni autour d'elle une quarantaine d'invités, parmi lesquels Zina et l'ambassadeur d'Italie Massimo Moretti, Pierre Doumet, Diane et Christian Mecataff, Alia Mouzannar et son époux Fadi Mogabgab, Anne de La Rochefoucauld, Youssef Dib, Ronald et Sabine Baz, Dr Hassan Ramadan, les trois New-Yorkaises Lara Kairouz, Maya Malek et Nada Sawaya....

L'autre dîner, donné celui-là par Nada et Raja Salamé, a rassemblé autour de Rula Jebreal l'ambassadeur d'Italie, Randa et Pierre el-Daher, Liliane et Dr Youssef Comair, Munib el-Masri, Hassana Mansour, Serge Brunst, Wafa Saab, Mimi et Gaby Tamer, Maurizio Ragnini, Myriam Skaff, Ghania Naja, Nancy et Ghassan Assaf, Rita et Avédis Demerdjian, Nohale et Joseph Abou Charaf, Carole et André Aour, Gabriel Bocti, et d'autres encore. Tout ce monde a été séduit par cette très belle femme dont le parcours admirable avait été révélé au cours d'une émission de Ricardo Karam, également présent au dîner avec son épouse Youmna. Née à Haïfa, orpheline dès l'enfance, elle réussit à décrocher une bourse pour mener ses études à l'Université de Bologne, en Italie, où elle réside depuis, et enseigne à l'Université américaine de Rome.

Détentrice du prix Mediawatch 2004, et du prix Ischia international 2005, réservé aux professionnels de moins de 35 ans, Rula Jebreal a animé au cours de ces dernières années de nombreux débats socio-politiques sur la chaîne LA7, la Raï et la RaiNews24. On raconte aussi que dans son album Is This the Life We Really Want  ? (Sony Music), sorti il y a un mois, Roger Waters, l'ex-Pink Floyd et légende du rock, fait référence à elle dans la chanson Wait for Her, inspirée d'un poème de Mahmoud Darwich !

 

À l'heure américaine
Des personnalités politiques, des chefs d'entreprise et des amis se sont rassemblés sur le site archéologique de Faqra pour participer à la réception organisée par l'ambassadrice des États-Unis, Elizabeth Richard, pour célébrer l'Independence Day. À la grande surprise des convives, l'hymne national libanais a été interprété a cappella par une Américaine, membre de l'équipe de l'ambassade. And she did it on her way, d'une manière lyrique. Une séquence qui a été vivement applaudie par les invités, notamment les ministres Nouhad Machnouk et Michel Pharaon, le commandant en chef de l'armée le général Joseph Aoun, le général Chamel Roukoz, les députés Mohammad Kabbani et Joseph Maalouf, l'ancien député Élie Ferzli, Mona et Marwan Iskandar, Arslan Sinno, Pierre Doumit, Maher Beydoun, Salah Haraké, Sami Nader, Sélim Zeenni, Fred Saikali, Samir Hanna, Habib Frem, Massoud el-Achkar et le président de la municipalité de Kfardebian Antoine Akiki.
La réception étant à midi, les invités ont profité d'un déjeuner à l'américaine : les traditionnels hamburgers, macaroni au fromage, chili, donuts, pop-corn, ice-cream, jelly beans, soft drinks, American beer et American whisky, sans oublier le gâteau de rigueur.

 

Direction Warwick
Hanifé Salam ne retient pas sa joie depuis qu'elle a reçu la bonne nouvelle : son petit-fils, Khaled Salim Salam, élève du Lycée français international Victor Segalen de Hong Kong, a décroché son diplôme de baccalauréat économique et social avec mention très bien. Pour célébrer ce précieux sésame qui marque la fin d'un cycle et le début des études supérieures, le consul général de France a reçu les jeunes bacheliers gratifiés d'une mention TB dans sa résidence, et des médailles de la monnaie de Paris, portant leur nom, leur ont été remises à cette occasion. Dès la rentrée de septembre, Khaled débutera ses études de droit et commerce en Grande-Bretagne, à l'université de Warwick.

ditavonbliss@hotmail.com

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