Cent personnes symboliquement déguisées en Statue de la liberté se sont rassemblées jeudi devant l'ambassade des Etats-Unis à Londres pour dénoncer la présidence de Donald Trump, qui s'apprête à fêter, samedi, ses 100 premiers jours.
Brandissant une réplique de la flamme de la liberté et portant de l'autre main des messages de l'organisation Amnesty international, tel que "Bienvenue aux réfugiés", les manifestants sont restés environ une demi-heure en fin de matinée, en silence, devant le bâtiment diplomatique.
"En l'espace de seulement cent jours, le président Trump a réussi à menacer et saper à maintes reprises les droits de l'Homme aux Etats-Unis et à travers le monde", a déclaré Patrick Corrigan, un responsable d'Amnesty.
"La statue de la liberté, si elle avait été vraie comme je le suis, aurait pleuré aujourd'hui", a ajouté Kerry Moscogiuri, une autre membre de l'organisation de défense des droits de l'Homme.
Selon Amnesty, des rassemblements similaires ont eu et auront lieu, samedi, en Irlande du Nord et en Ecosse.
Depuis sa prise de fonctions, Donald Trump a été régulièrement critiqué par les organisations de défense des droits de l'Homme, notamment sur sa politique anti-immigration.
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