Un commandant rebelle a réfuté mercredi les affirmations du ministère russe des Affaires étrangères qui a déclaré que la contamination aux gaz observée mardi dans le village syrien de Khan Cheikhoune était imputable à des fuites provenant d'un dépôt d'armes chimiques appartenant aux rebelles et bombardé par les forces gouvernementales syriennes.
Hassan Hadj Ali, commandant de l'Armée libre syrienne, a assuré qu'aucune position militaire rebelle n'avait été visée mardi lors de l'attaque incriminée.
"Tout le monde a vu l'avion quand il a largué les gaz", a-t-il dit à Reuters.
"Tous les civils de la zone savent qu'il n'y a aucune position militaire ici ou emplacement de fabrication (d'armes). Les différentes composantes de l'opposition ne sont pas capables de produire ces substances", a-t-il ajouté, qualifiant les déclarations russes de mensonge.
Hassan Hadj Ali, commandant de...
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