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Lifestyle - Échappée belle

Beyrouth, l’art et l’architecture

L’artiste Danh Vo devant ses Fragments de la statue de la Liberté. Photo DR

La Fondation Aïshti se tient une fois de plus au chevet de Beyrouth, ville en perpétuelle déconstruction et reconstruction. Le 23 février, en partenariat avec Columbia University, la Fondation Aïshti et son président Tony Salamé accueilleront une délégation d'éminents architectes, designers et artistes, dont notamment la doyenne de l'École supérieure d'architecture, planning et conservation (GSAPP) de Columbia, et cofondatrice du cabinet WORKac ; le designer William Sawaya, partenaire de Sawaya & Moroni ; la designer Karen Chekerdjian ; Barry Bergdoll, professeur d'histoire de l'art à Columbia University, et conservateur du département d'architecture et design du Musée d'art moderne de New York ; Nicolai Ouroussof, ancien critique d'architecture du New York Times et actuel professeur adjoint associé de l'École d'architecture de Columbia (GSAPP); Julian Rose, cofondateur du laboratoire d'architecture Formlessfinder, professeur adjoint assistant à l'École d'architecture de Columbia (GSAPP) ; Hanan Sayed Worrell, représentante de la Fondation Salomon R. Guggenheim à Abou Dhabi, et Hala Wardé, fondatrice de HW Architecture et partenaire privilégiée des ateliers Jean Nouvel.
La journée commencera par une visite de Beyrouth, notamment du centre-ville, à la découverte des bâtiments ottomans restaurés et des nouvelles architectures, notamment le dernier bâtiment de Zaha Hadid, en cours de construction, qui abritera le nouveau grand magasin Aïshti. La visite sera suivie d'ateliers de réflexion sur La formation des villes à travers l'art et le design. Vers 18h, un débat ouvert au public aura lieu à Antélias, sur le site en bord de mer de la Fondation Aïshti, dans le complexe Aïshti by the Sea.
Cette conférence permettra de mettre en commun les impressions de la journée et de les partager avec l'audience. Elle sera suivie d'un cocktail et d'un lever de rideau sur la dernière installation de l'artiste danois d'origine vietnamienne Danh Vo, célèbre pour ses fragments grandeur nature, en cuivre rouge, de la statue de la Liberté, dont un certain nombre fait partie de la collection de la Fondation Aïshti. Cette nouvelle installation, sans titre, composée d'outils agricoles, de fer et de carton doré, est annoncée par une lettre de Henry Kissinger, datée du 13 octobre 1975, document dans lequel le secrétaire d'État américain remercie l'épouse du grand éditorialiste Leonard Lyons pour un ouvrage intitulé Inside the White House in War Times, montrant en couverture le Capitole décapité. Tout un programme dont on attendra la révélation jeudi.

La Fondation Aïshti se tient une fois de plus au chevet de Beyrouth, ville en perpétuelle déconstruction et reconstruction. Le 23 février, en partenariat avec Columbia University, la Fondation Aïshti et son président Tony Salamé accueilleront une délégation d'éminents architectes, designers et artistes, dont notamment la doyenne de l'École supérieure d'architecture, planning et...

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