Dilma Rousseff, la présidente du Brésil suspendue en mai, a clamé mardi être innocente" et prête à un référendum sur des élections anticipées si elle n'était pas destituée fin août, dans une lettre ouverte.
"Il faut que le Sénat mette fin à la procédure de destitution, en reconnaissant face aux preuves irréfutables qu'il n'y a pas eu crime de responsabilité, que je suis innocente", dit-elle dans sa lettre ouverte au peuple brésilien lue au Palais de l'Alvorada à Brasilia devant la presse, et qu'elle a mise sur des réseaux sociaux.
"Il faut que le Sénat mette fin à la procédure de destitution, en reconnaissant face aux preuves irréfutables qu'il n'y a pas eu crime de responsabilité, que je suis...
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