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Liban

Zahra : L’initiative présidentielle n’est pas la seule échappatoire permettant d’éviter le pire

Le député Antoine Zahra a dénoncé hier le climat entretenu par certains médias qui présentent la dernière initiative présidentielle lancée par Saad Hariri comme étant la seule échappatoire « permettant d'éviter le pire ». « Il y a sûrement un troisième choix, celui de s'accrocher à nos principes et de préserver notre dignité et nos droits démocratiques au lieu de baisser les bras face à la menace du pire », a déclaré M. Zahra.
« Avec tout notre respect pour les personnes proposées pour le poste de chef de l'État, nous soulignons que nous ne sommes pas un peuple que l'on pourrait placer devant l'alternative suivante : acceptez cette proposition ou ce sera l'enfer ! Nous avons payé le tribut du sang pour préserver notre liberté et le Liban, et nous sommes prêts à consentir à nouveau tous les sacrifices afin de préserver pour nos enfants un pays où ils pourraient vivre, travailler, produire et s'épanouir à tous les niveaux », a ajouté M. Zahra.
Le député des Forces libanaises (FL), qui s'est exprimé à l'occasion de la réception annuelle de Noël organisée par le bureau des FL à Ebrin, au Batroun, a par ailleurs rappelé que la Nativité était l'occasion de renouer avec l'espérance et donc l'occasion de ne pas sombrer dans le désespoir malgré les crises qui secouent le pays, de la vacance présidentielle à la crise syrienne et ses répercussions sur la scène interne. « Il y a évidemment certaines parties qui sont plus responsables que d'autres de la situation d'insécurité et d'impuissance dans laquelle se trouve le pays, car elles empêchent la mise en place d'un État stable et fort », a conclu M. Zahra.

Le député Antoine Zahra a dénoncé hier le climat entretenu par certains médias qui présentent la dernière initiative présidentielle lancée par Saad Hariri comme étant la seule échappatoire « permettant d'éviter le pire ». « Il y a sûrement un troisième choix, celui de s'accrocher à nos principes et de préserver notre dignité et nos droits démocratiques au lieu...

commentaires (4)

POUR ÉVITER LE PIRE LES PAROLES NE SERVENT À RIEN. QUI SERA QUI ET Où... CHEZ QUI... ET QUOI ET POURQUOI ET COMMENT ? ROULEZ-LES BIEN DANS VOS CERVEAUX... MIEUX VAUT TARD QUE JAMAIS...

LA LIBRE EXPRESSION

16 h 08, le 29 décembre 2015

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Commentaires (4)

  • POUR ÉVITER LE PIRE LES PAROLES NE SERVENT À RIEN. QUI SERA QUI ET Où... CHEZ QUI... ET QUOI ET POURQUOI ET COMMENT ? ROULEZ-LES BIEN DANS VOS CERVEAUX... MIEUX VAUT TARD QUE JAMAIS...

    LA LIBRE EXPRESSION

    16 h 08, le 29 décembre 2015

  • ALORS MONSIEUR ZAHRA QUE LES F.L. REDEVIENNENT CE QU'ILS ÉTAIENT ! JE LE DISAIS D'UNE AUTRE MANIÈRE UN PEU ANECDOTIQUE MAIS LA CENSURE SEMBLE-T-IL N'AIME PAS LES ANECDOTES...

    LA LIBRE EXPRESSION

    14 h 37, le 29 décembre 2015

  • "Le grand député Antoine Zahra a dénoncé le climat entretenu par des (médias) qui présentent la dernière initiative présidentielle lancée par Hariri comme étant la seule échappatoire permettant d'éviter le pire ! Il y a évidemment un troisième et bien meilleur choix, c'est celui de s'accrocher à nos principes et de préserver notre dignité et nos droits démocratiques au lieu de baisser les bras face à la menace du pire, a déclaré M. Antoine Zahra." ! Et il a ajouté : "Avec tout le respect pour les personnes proposées pour ce poste de président, nous soulignons que nous ne sommes pas un peuple que l'on pourrait placer devant l'alternative suivante : acceptez cette proposition ou ce sera l'enfer ! Nous avons payé le tribut du sang pour préserver notre liberté et le Liban, et nous sommes prêts à consentir à nouveau tous les sacrifices afin de préserver pour nos enfants un pays où ils pourraient vivre s'épanouir à tous les niveaux, a ajouté M. Antoine Zahra." ! Wâllâh yâ äâmméh, il ne se prénomme pas Antoine et il n'est pas une Rose qui pique quand il le faut, juste pour la forme, ce beau Zahra !

    ANTOINE-SERGE KARAMAOUN

    07 h 35, le 29 décembre 2015

  • Bien sûr, il existe une autre solution, très simple: appliquer la Constitution et abolir ce quorum des 2/3 imposé motu oroprio par Berry.

    Yves Prevost

    07 h 02, le 29 décembre 2015

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