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Moyen Orient et Monde

À l’enterrement du soldat russe mort en Syrie, sa famille rejette la thèse du suicide

La famille de Vadim Kostenko, le premier soldat russe mort en Syrie, ne croyait pas à la thèse officielle du suicide avancée par l'armée alors qu'elle s'apprêtait hier à l'enterrer dans un village du sud-ouest de la Russie.
« Ce n'était pas un suicide », a déclaré à l'AFP la sœur du soldat, Ekaterina, qui a pu voir le corps de son frère. « Son corps est arrivé la nuit dernière. Nous avons vu que son nez et sa mâchoire étaient cassés. Il avait des marques autour du cou », raconte-t-elle. « Personne ne croit à l'histoire du suicide. Il n'a pas pu mettre fin à ses jours à cause d'une fille. Il n'était pas ce genre de garçon », soutient Svetlana Chpag, une ancienne collègue de la mère de Vadim. « La seule raison pour laquelle il aurait pu se donner la mort, c'est que quelqu'un était sur le point de le tuer », assure cette ancienne institutrice de 42 ans.

La famille de Vadim Kostenko, le premier soldat russe mort en Syrie, ne croyait pas à la thèse officielle du suicide avancée par l'armée alors qu'elle s'apprêtait hier à l'enterrer dans un village du sud-ouest de la Russie.« Ce n'était pas un suicide », a déclaré à l'AFP la sœur du soldat, Ekaterina, qui a pu voir le corps de son frère. « Son corps est arrivé la nuit dernière....

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