Le ministre autrichien des Affaires étrangères a estimé mardi à Téhéran que Bachar el-Assad devait être associé à la lutte contre l'organisation Etat islamique (EI).
Il ne faut pas ignorer les crimes commis par le président syrien, mais se souvenir qu'il est dans le même camp face au groupe jihadiste, a ajouté Sebastian Kurz, qui accompagne le président autrichien Heinz Fischer en visite d'Etat en Iran.
Le chef de la diplomatie autrichienne a également jugé que la lutte contre le "terrorisme" en Syrie passait par une coopération avec l'Iran et la Russie, les deux principaux alliés d'Assad.
"A mon avis, la priorité est la lutte contre le terrorisme. Cela ne sera pas possible sans des puissances comme la Russie et l'Iran", a-t-il dit aux journalistes. "Il nous faut une approche commune pragmatique comprenant à cet égard l'implication d'Assad dans la lutte contre l'Etat islamique."
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