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Moyen Orient et Monde - Pakistan

Islamabad déterminé à en finir avec les islamistes

Le chef du plus violent groupe armé antichiites du Pakistan et 13 de ses proches ont été tués hier lors d'une opération policière, signe de la volonté grandissante d'Islamabad de neutraliser les groupes rebelles violents sur son sol.
Malik Ishaq, environ 55 ans, était l'influent leader du Lashkar-e-Jhangvi (LeJ), faction sunnite extrémiste proche d'el-Qaëda et accusée d'innombrables attaques, en partie revendiquées, contre la minorité chiite. Le chef du LeJ, qui a également selon des témoignages concordants fourni des dizaines de combattants au groupe État islamique (EI) en Irak et Syrie, faisait partie de la liste des personnalités considérées comme terroristes par le gouvernement américain.
Selon les autorités, il a donc été tué avec 13 autres cadres du LeJ, dont deux de ses fils et son adjoint, lors d'une fusillade avec la police dans les faubourgs de Muzaffargarh, dans la province du Pendjab. Selon la version officielle, Ishaq, ses fils et les autres cadres du LeJ ont trouvé la mort après que des membres du LeJ ont tenté de les libérer en attaquant le convoi policier qui les transportait, ce qu'a formellement démenti le LeJ.

(Source : AFP)

Le chef du plus violent groupe armé antichiites du Pakistan et 13 de ses proches ont été tués hier lors d'une opération policière, signe de la volonté grandissante d'Islamabad de neutraliser les groupes rebelles violents sur son sol.Malik Ishaq, environ 55 ans, était l'influent leader du Lashkar-e-Jhangvi (LeJ), faction sunnite extrémiste proche d'el-Qaëda et accusée...

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