Rechercher
Rechercher

Liban

Mise au point de Jamil Sayyed

L'ancien directeur de la Sûreté générale, Jamil Sayyed, nous a fait parvenir la mise au point suivante, au sujet des informations le concernant dans l'article intitulé « Beyrouth n'oublie pas le chevalier du printemps », paru dans notre édition de lundi.
« Ce que le journaliste écrit au sujet des menaces téléphoniques contre Samir Kassir et de la surveillance qui lui était imposée en permanence est en contradiction avec les résultats des investigations menées par la Commission internationale d'enquête et le juge d'instruction libanais, près la Cour de justice, qui ont permis de prouver qu'il n'y a eu qu'un seul appel téléphonique entre le général Sayyed et Samir Kassir, en 2001 (...), au cours duquel il n'y a pas eu de menaces, mais des reproches dans la mesure où les deux hommes se connaissaient, Samir Kassir ayant été le professeur du fils du général Sayyed à la faculté de droit de l'USJ », écrit le général Sayyed.
Il poursuit : « Ces mêmes investigations ont prouvé de manière irrévocable que les patrouilles qui prenaient en filature Samir Kassir et le surveillaient ne relevaient pas de la Sûreté générale que dirigeait Jamil Sayyed, mais du service des renseignements de l'armée. Elles le suivaient après la publication de l'article qu'il avait écrit contre l'armée, " Des soldats contre qui... ? ". »

L'ancien directeur de la Sûreté générale, Jamil Sayyed, nous a fait parvenir la mise au point suivante, au sujet des informations le concernant dans l'article intitulé « Beyrouth n'oublie pas le chevalier du printemps », paru dans notre édition de lundi.« Ce que le journaliste écrit au sujet des menaces téléphoniques contre Samir Kassir et de la surveillance qui lui était imposée...

commentaires (0)

Commentaires (0)

Retour en haut