Les problèmes de la Grèce "sont toujours là, ils doivent toujours être résolus", a souligné lundi Jeroen Dijsselbloem, le président de l'Eurogroupe, à l'issue d'une réunion des ministres des Finances de la zone euro à Bruxelles.
Ces problèmes "n'ont pas disparu du jour au lendemain par le simple fait qu'une élection a eu lieu", a-t-il poursuivi en réponse à une question sur la victoire électorale la veille du parti de gauche radicale Syriza, qui prône la fin de l'austérité et réclame une restructuration de la dette grecque.
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