L'ancien Premier ministre libanais Saad Hariri a accusé vendredi le Hezbollah de « protéger » les cinq accusés dans l'assassinat de son père, Rafic Hariri, tué dans un attentat-suicide avec 22 autres personnes, le 14 février 2005.
« Personne n'ose demander des comptes au Hezbollah, pas même l’État », a-t-il dit dans un discours prononcé à l'occasion d'une cérémonie commémorant le 9e anniversaire de l'assassinat de son père, organisée par la coalition du 14 Mars au complexe BIEL, dans le centre de Beyrouth.
« Personne n'ose demander des comptes au Hezbollah, pas même l’État », a-t-il dit dans un discours prononcé à l'occasion d'une cérémonie...
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