Le chef du puissant mouvement chiite libanais, Hassan Nasrallah, allié indéfectible de Damas, a accusé lundi l'Arabie saoudite de bloquer la solution politique en Syrie car, selon lui, elle est dépitée par son échec patent.
"Aujourd'hui, le dialogue politique et la recherche d'une solution politique bénéficient d'un soutien international, régional et intérieur. Genève-2 ouvre un horizon nouveau (...) mais il y a un Etat régional qui est très furieux (contre cette conférence de paix pour la Syrie espérée en novembre, ndlr) et son nom, c'est l'Arabie saoudite", a-t-il lancé lors d'un discours retransmis sur grand écran dans la banlieue sud de Beyrouth, son fief.
Les relations entre Ryad et Washington se sont dégradées depuis que les Etats-Unis ont décidé de ne pas mener de frappe contre la Syrie et se sont rapprochés de l'Iran, le pire ennemi de l'Arabie saoudite.
Pour Hassan Nasrallah, le royaume saoudien est "furieux car la situation en Syrie n'a pas tourné en sa faveur".
"Des milliers de combattants du monde entier ont été acheminés, il leur a été donné des armes et des financements. On a tout utilisé: les pressions médiatique et politique, le siège, les sanctions, tout a été mis en oeuvre par ceux qui voulaient faire tomber le régime (...) mais cela n'a pas marché", a martelé le dirigeant chiite qui avait admis en mai envoyer des combattants en Syrie pour soutenir les troupes du régime.
"La région ne peut pas rester à feu et à sang parce qu'un Etat est furieux et qu'il essaie d'entraver tout dialogue politique et de reporter Genève-2 (...) Son entêtement est futile", a-t-il lancé à l'adresse de Ryad.
"Aujourd'hui, le dialogue politique et la recherche d'une solution politique bénéficient d'un soutien international, régional et intérieur. Genève-2 ouvre un horizon nouveau (...) mais il y a un Etat régional qui est très furieux (contre cette conférence de paix pour la Syrie espérée en novembre, ndlr) et son nom, c'est l'Arabie saoudite", a-t-il lancé lors d'un discours retransmis sur grand écran dans la banlieue sud de Beyrouth, son fief.
Les relations entre Ryad et Washington se sont dégradées depuis que les Etats-Unis ont décidé de ne pas mener de frappe contre la Syrie et se sont rapprochés de l'Iran, le pire ennemi de l'Arabie saoudite.
Pour Hassan Nasrallah, le royaume saoudien est "furieux car la situation en Syrie n'a pas tourné en sa faveur".
"Des milliers de combattants du monde entier ont été acheminés, il leur a été donné des armes et des financements. On a tout utilisé: les pressions médiatique et politique, le siège, les sanctions, tout a été mis en oeuvre par ceux qui voulaient faire tomber le régime (...) mais cela n'a pas marché", a martelé le dirigeant chiite qui avait admis en mai envoyer des combattants en Syrie pour soutenir les troupes du régime.
"La région ne peut pas rester à feu et à sang parce qu'un Etat est furieux et qu'il essaie d'entraver tout dialogue politique et de reporter Genève-2 (...) Son entêtement est futile", a-t-il lancé à l'adresse de Ryad.
Le chef du puissant mouvement chiite libanais, Hassan Nasrallah, allié indéfectible de Damas, a accusé lundi l'Arabie saoudite de bloquer la solution politique en Syrie car, selon lui, elle est dépitée par son échec patent."Aujourd'hui, le dialogue politique et la recherche d'une solution politique bénéficient d'un soutien international, régional et intérieur. Genève-2 ouvre un horizon...
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