Les rebelles ont lancé mercredi un assaut contre la prison centrale d'Alep dans le nord de la Syrie, tenue par les forces du régime, et des combats se déroulaient dans le bâtiment de la direction du centre de détention, selon une ONG syrienne.
La prison, l'une des plus grandes du pays où sont détenues des milliers de personnes, était assiégée depuis avril dernier par les rebelles qui cherchaient à en prendre le contrôle.
Il s'agit des premiers combats depuis mai à l'intérieur de la prison d'Alep, la grande métropole du nord du pays en guerre depuis plus de deux ans et demi.
Selon le chef de l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH), Rami Abdel Rahmane, l'assaut est mené par des membres du groupe jihadiste du Front al-Nosra, lié à Al-Qaïda, et du groupe islamiste Ahrar al-Cham.
"Après l'assaut donné par les combattants, de violents combats se déroulaient dans le bâtiment de la direction de la prison", a-t-il précisé à l'AFP en soulignant que les violences n'avaient "pas encore atteint les bâtiments où sont détenus les prisonniers".
M. Abdel Rahmane a ajouté que l'aviation du régime bombardait les positions des rebelles dans les environs de la prison située à la périphérie nord d'Alep.
Plutôt dans la journée, l'OSDH avait fait état de deux attentats suicide menés par le Front Al-Nosra à l'entrée de la prison d'Alep, près de barricades de l'armée, tuant au moins neuf soldats.
L'armée avait repoussé en mai et en avril deux assauts contre la prison d'Alep lancés par les rebelles qui veulent libérer les détenus de cette vaste prison.
Les forces du régime contrôlent les bâtiments dans lesquels sont les prisonniers, et des combats et bombardements ont lieu depuis mai entre les deux camps à l'extérieur du centre de détention.
Environ 4.000 à 5.000 prisonniers, dont des islamistes, des criminels de droit commun, mais aussi des militants et des mineurs, sont détenus dans cette prison.
L'OSDH avait dénoncé une situation sanitaire "effrayante" dans la prison d' Alep en faisant état de cas de tuberculose et de gale.
La prison, l'une des plus grandes du pays où sont détenues des milliers de personnes, était assiégée depuis avril dernier par les rebelles qui cherchaient à en prendre le contrôle.
Il s'agit des premiers combats depuis mai à l'intérieur de la prison d'Alep, la grande métropole du nord du pays en guerre depuis plus de deux ans et demi.
Selon le chef de l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH), Rami Abdel Rahmane, l'assaut est mené par des membres du groupe jihadiste du Front al-Nosra, lié à Al-Qaïda, et du groupe islamiste Ahrar al-Cham.
"Après l'assaut donné par les combattants, de violents combats se déroulaient dans le bâtiment de la direction de la prison", a-t-il précisé à l'AFP en soulignant que les violences n'avaient "pas encore atteint les bâtiments où sont détenus les prisonniers".
M. Abdel Rahmane a ajouté que l'aviation du régime bombardait les positions des rebelles dans les environs de la prison située à la périphérie nord d'Alep.
Plutôt dans la journée, l'OSDH avait fait état de deux attentats suicide menés par le Front Al-Nosra à l'entrée de la prison d'Alep, près de barricades de l'armée, tuant au moins neuf soldats.
L'armée avait repoussé en mai et en avril deux assauts contre la prison d'Alep lancés par les rebelles qui veulent libérer les détenus de cette vaste prison.
Les forces du régime contrôlent les bâtiments dans lesquels sont les prisonniers, et des combats et bombardements ont lieu depuis mai entre les deux camps à l'extérieur du centre de détention.
Environ 4.000 à 5.000 prisonniers, dont des islamistes, des criminels de droit commun, mais aussi des militants et des mineurs, sont détenus dans cette prison.
L'OSDH avait dénoncé une situation sanitaire "effrayante" dans la prison d' Alep en faisant état de cas de tuberculose et de gale.
Les rebelles ont lancé mercredi un assaut contre la prison centrale d'Alep dans le nord de la Syrie, tenue par les forces du régime, et des combats se déroulaient dans le bâtiment de la direction du centre de détention, selon une ONG syrienne.La prison, l'une des plus grandes du pays où sont détenues des milliers de personnes, était assiégée depuis avril dernier par les rebelles qui...
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