Le Premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan, s’est déclaré insatisfait hier d’une possible action militaire limitée contre la Syrie, estimant que toute intervention devait avoir pour objectif un changement de régime dans ce pays. Auparavant, le ministre turc des Affaires étrangères Ahmet Davutoglu a affirmé que selon les renseignements collectés par les services secrets turcs, il n’y avait plus aucun doute que le régime syrien était responsable de l’attaque chimique du 21 août près de Damas. La Turquie s’est engagée à rejoindre une coalition anti-Damas, même sans consensus à l’ONU.
Le Premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan, s’est déclaré insatisfait hier d’une possible action militaire limitée contre la Syrie, estimant que toute intervention devait avoir pour objectif un changement de régime dans ce pays. Auparavant, le ministre turc des Affaires étrangères Ahmet Davutoglu a affirmé que selon les renseignements collectés par les services secrets turcs, il...
Cet article est réservé aux abonnés. Abonnez-vous pour 1$ et accédez à une information indépendante.
Dans votre abonnement numérique : la version PDF du quotidien L’Orient-Le Jour, des newsletters réservées aux abonnés ainsi qu'un accès illimité à 3 médias en ligne : L’Orient-Le Jour, L’Orient Today et L’Orient Littéraire.
Chers lecteurs, afin que vos réactions soient validées sans problème par les modérateurs de L'Orient-Le Jour, nous vous prions de jeter un coup d'oeil à notre charte de modération.