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Nos Lecteurs ont la Parole - Festival de Baalbeck

L’hommage de Wagih Ghossoub à Nayla de Freige

Par Wagih GHOSSOUB

Je rends hommage à Nayla de Freige qui a transporté le Festival de Baalbeck de son cadre traditionnel, auquel il est rattaché depuis ses origines, l’acropole romaine de Baalbeck, à la Magnanerie de Sad el-Bauchrieh.
Deux lieux aussi dissemblables par leur essence même, leur structure, leur style et par leur vocation. Le premier voué au culte des dieux, l’autre à celui... de la soie. Elle a eu le courage de le faire. Elle a pu le faire. Elle a su le faire sans fausse note ni l’ombre d’un faux pas. Elle a réussi – par-dessus tout – à maintenir l’esprit du festival et lui garder son âme.
Moi qui ai accompagné cette aventure prodigieuse du Festival de Baalbeck depuis ses débuts, je m’y suis retrouvé et j’étais heureux.
Le contenant avait intégré le contenu, l’organisation dans ce lieu inédit parfaite. C’était une gageure, c’est une prouesse, je dirais un miracle. Les miracles ne réussissent qu’à ceux qui y croient et les réalisent contre toute attente. Cet hommage était dû à Nayla et à son équipe. C’est une élite.

 

Wagih GHOSSOUB
Ancien directeur du Festival international de Baalbeck et son représentant à l’étranger

Je rends hommage à Nayla de Freige qui a transporté le Festival de Baalbeck de son cadre traditionnel, auquel il est rattaché depuis ses origines, l’acropole romaine de Baalbeck, à la Magnanerie de Sad el-Bauchrieh.Deux lieux aussi dissemblables par leur essence même, leur structure, leur style et par leur vocation. Le premier voué au culte des dieux, l’autre à celui... de la soie....
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