C’était suave, élégant, un brin exotique... Une parenthèse jazzy métisse de bossa- nova que la chanteuse et musicienne Éliane Élias a offert au public libanais, envers et contre tous les démons qui sèment la mort, la tragédie et la désolation dans le pays ! C’était hier soir à la magnanerie de Sad el-Bauchrieh, le concert d’ouverture du Festival de Baalbeck. Parce que la musique restera toujours porteuse d’espoir, de tolérance et de paix... Même quand elle résonne dans les cœurs comme une samba triste !
Z. Z.
C’était suave, élégant, un brin exotique... Une parenthèse jazzy métisse de bossa- nova que la chanteuse et musicienne Éliane Élias a offert au public libanais, envers et contre tous les démons qui sèment la mort, la tragédie et la désolation dans le pays ! C’était hier soir à la magnanerie de Sad el-Bauchrieh, le concert d’ouverture du Festival de Baalbeck. Parce que la...
Cet article est réservé aux abonnés. Abonnez-vous pour 1$ et accédez à une information indépendante.
Dans votre abonnement numérique : la version PDF du quotidien L’Orient-Le Jour, des newsletters réservées aux abonnés ainsi qu'un accès illimité à 3 médias en ligne : L’Orient-Le Jour, L’Orient Today et L’Orient Littéraire.
Chers lecteurs, afin que vos réactions soient validées sans problème par les modérateurs de L'Orient-Le Jour, nous vous prions de jeter un coup d'oeil à notre charte de modération.