L’insulte au chef de l’État ne sera désormais plus passible de prison en Égypte mais d’une amende, a décidé hier par décret le président par intérim, Adli Mansour. Le décret présidentiel stipule que l’insulte au président est désormais passible d’une amende maximum de 30 000 livres (3 240 euros), alors que la personne poursuivie risquait auparavant trois ans de prison. Plusieurs opposants et humoristes avaient fait l’objet sous la présidence du dirigeant islamiste Mohammad Morsi de poursuites pour insultes au chef de l’État et à l’islam, entraînant pour certains une incarcération. Le cas le plus célèbre est celui de l’imitateur Bassem Youssef qui, dans son émission télévisée hebdomadaire, fait rire les Égyptiens en imitant les hommes politiques.
L’insulte au chef de l’État ne sera désormais plus passible de prison en Égypte mais d’une amende, a décidé hier par décret le président par intérim, Adli Mansour. Le décret présidentiel stipule que l’insulte au président est désormais passible d’une amende maximum de 30 000 livres (3 240 euros), alors que la personne poursuivie risquait auparavant trois ans de prison....
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