Les autorités égyptiennes vont rouvrir mercredi le point de passage de Rafah, à la frontière avec la bande de Gaza, fermé depuis vendredi, dans le sens des entrées vers le territoire palestinien, a annoncé mardi le gouvernement du Hamas à Gaza.
"Le terminal sera ouvert demain de 08H30 à 14H30 (mercredi de 05H30 à 11H30 GMT) pour les arrivées, et pour les départs uniquement pour les malades et les titulaires de passeports égyptiens ou étrangers", a précisé le vice-ministre des Affaires étrangères du gouvernement du Hamas, Ghazi Hammad, cité par l'agence officielle des autorités de Gaza.
Le ministère de l'Intérieur du gouvernement du Hamas a affirmé pour sa part dans un communiqué que le terminal de Rafah serait ouvert mercredi "pendant 48 heures uniquement".
Lors de sa réunion hebdomadaire, le gouvernement du Hamas a salué cette décision mais appelé "la partie égyptienne à ouvrir complètement le terminal de Rafah dans les deux sens, en raison de la grande souffrance causée par sa fermeture", selon un communiqué officiel.
L'Egypte a fermé le 5 juillet le terminal, unique accès au territoire palestinien qui ne soit pas contrôlé par Israël, à la suite d'attaques dans le Sinaï, frontalier de la bande de Gaza et d'Israël, qui ont coûté la vie à un soldat et cinq policiers.
Par ailleurs, le Hamas multipliait ces derniers jours les démentis d'informations de médias égyptiens sur son implication aux côtés des partisans du président renversé.
Un porte-parole du mouvement, Sami Abou Zouhr a "appelé les médias égyptiens à cesser leur campagne de diffamation contre le Hamas et la résistance palestinienne, et les tentatives de les impliquer dans la situation en Egypte".
Le Hamas, issu des Frères musulmans, avait condamné lundi le "massacre" de dizaines de partisans du président islamiste égyptien Mohamed Morsi, déposé par l'armée, et appelé à cesser l'effusion de sang.
Les forces égyptiennes ont également fermé depuis une dizaine de jours des tunnels de contrebande sous la frontière, provoquant une importante pénurie, en particulier de carburant et de ciment, dans la bande de Gaza.
Des islamistes du Sinaï, région agitée qui échappe largement au contrôle des autorités du Caire, ont publiquement menacé de commettre des violences en représailles à l'éviction le 3 juillet par l'armée du président Morsi.
"Le terminal sera ouvert demain de 08H30 à 14H30 (mercredi de 05H30 à 11H30 GMT) pour les arrivées, et pour les départs uniquement pour les malades et les titulaires de passeports égyptiens ou étrangers", a précisé le vice-ministre des Affaires étrangères du gouvernement du Hamas, Ghazi Hammad, cité par l'agence officielle des autorités de Gaza.
Le ministère de l'Intérieur du gouvernement du Hamas a affirmé pour sa part dans un communiqué que le terminal de Rafah serait ouvert mercredi "pendant 48 heures uniquement".
Lors de sa réunion hebdomadaire, le gouvernement du Hamas a salué cette décision mais appelé "la partie égyptienne à ouvrir complètement le terminal de Rafah dans les deux sens, en raison de la grande souffrance causée par sa fermeture", selon un communiqué officiel.
L'Egypte a fermé le 5 juillet le terminal, unique accès au territoire palestinien qui ne soit pas contrôlé par Israël, à la suite d'attaques dans le Sinaï, frontalier de la bande de Gaza et d'Israël, qui ont coûté la vie à un soldat et cinq policiers.
Par ailleurs, le Hamas multipliait ces derniers jours les démentis d'informations de médias égyptiens sur son implication aux côtés des partisans du président renversé.
Un porte-parole du mouvement, Sami Abou Zouhr a "appelé les médias égyptiens à cesser leur campagne de diffamation contre le Hamas et la résistance palestinienne, et les tentatives de les impliquer dans la situation en Egypte".
Le Hamas, issu des Frères musulmans, avait condamné lundi le "massacre" de dizaines de partisans du président islamiste égyptien Mohamed Morsi, déposé par l'armée, et appelé à cesser l'effusion de sang.
Les forces égyptiennes ont également fermé depuis une dizaine de jours des tunnels de contrebande sous la frontière, provoquant une importante pénurie, en particulier de carburant et de ciment, dans la bande de Gaza.
Des islamistes du Sinaï, région agitée qui échappe largement au contrôle des autorités du Caire, ont publiquement menacé de commettre des violences en représailles à l'éviction le 3 juillet par l'armée du président Morsi.
Les autorités égyptiennes vont rouvrir mercredi le point de passage de Rafah, à la frontière avec la bande de Gaza, fermé depuis vendredi, dans le sens des entrées vers le territoire palestinien, a annoncé mardi le gouvernement du Hamas à Gaza."Le terminal sera ouvert demain de 08H30 à 14H30 (mercredi de 05H30 à 11H30 GMT) pour les arrivées, et pour les départs uniquement pour les...
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