Le président François Hollande a estimé jeudi qu'il fallait convaincre Moscou, soutien du régime syrien, que "son intérêt est d'en terminer avec Bachar el-Assad" et a assuré que Paris participait aux efforts diplomatiques internationaux en cours.
"Nous devons avoir avec la Russie cette discussion franche pour la convaincre que son intérêt, l'intérêt de la région, et l'intérêt de la paix, c'est d'en terminer avec Bachar el-Assad", a déclaré M. Hollande lors d'une conférence de presse.
"Nous sommes partie prenante" des intenses tractations diplomatiques en cours autour de la Syrie, a assuré M. Hollande, alors que Washington et Moscou ont repris l'initiative sur le dossier en proposant une conférence internationale permettant un début de dialogue entre représentants de l'opposition et du régime syrien.
La résolution du conflit syrien "ne peut pas être simplement traitée à deux pays, ça doit se faire avec l'ensemble de la communauté internationale", a déclaré M. Hollande, assurant que depuis son élection en mai 2012, la France avait "toujours été à l'initiative sur la question syrienne". "Nous n'avons jamais considéré que nous devions écarter les autres", a-t-il ajouté.
Moscou et Washington sont tombés d'accord la semaine dernière pour relancer le processus de Genève, du nom d'un accord signé le 30 juin 2012 en Suisse entre les grandes puissances sur une transition politique en Syrie, où la guerre civile a fait plus de 94.000 morts, selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).
Mais cet accord n'a jamais été appliqué en raison de l'ambiguïté maintenue sur le sort du président syrien Bachar el-Assad, dont l'opposition réclame le départ du pouvoir comme préalable à toute discussion.
Une telle conférence, dite "Genève 2", "peut être un bon cadre", a estimé François Hollande.
Dans le cadre des efforts pour organiser cette conférence, une réunion du groupe des "Amis de la Syrie", regroupant les pays hostiles au régime de Damas, doit se tenir la semaine prochaine en Jordanie, mercredi selon une source diplomatique française.
"Nous devons avoir avec la Russie cette discussion franche pour la convaincre que son intérêt, l'intérêt de la région, et l'intérêt de la paix, c'est d'en terminer avec Bachar el-Assad", a déclaré M. Hollande lors d'une conférence de presse.
"Nous sommes partie prenante" des intenses tractations diplomatiques en cours autour de la Syrie, a assuré M. Hollande, alors que Washington et Moscou ont repris l'initiative sur le dossier en proposant une conférence internationale permettant un début de dialogue entre représentants de l'opposition et du régime syrien.
La résolution du conflit syrien "ne peut pas être simplement traitée à deux pays, ça doit se faire avec l'ensemble de la communauté internationale", a déclaré M. Hollande, assurant que depuis son élection en mai 2012, la France avait "toujours été à l'initiative sur la question syrienne". "Nous n'avons jamais considéré que nous devions écarter les autres", a-t-il ajouté.
Moscou et Washington sont tombés d'accord la semaine dernière pour relancer le processus de Genève, du nom d'un accord signé le 30 juin 2012 en Suisse entre les grandes puissances sur une transition politique en Syrie, où la guerre civile a fait plus de 94.000 morts, selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH).
Mais cet accord n'a jamais été appliqué en raison de l'ambiguïté maintenue sur le sort du président syrien Bachar el-Assad, dont l'opposition réclame le départ du pouvoir comme préalable à toute discussion.
Une telle conférence, dite "Genève 2", "peut être un bon cadre", a estimé François Hollande.
Dans le cadre des efforts pour organiser cette conférence, une réunion du groupe des "Amis de la Syrie", regroupant les pays hostiles au régime de Damas, doit se tenir la semaine prochaine en Jordanie, mercredi selon une source diplomatique française.
Le président François Hollande a estimé jeudi qu'il fallait convaincre Moscou, soutien du régime syrien, que "son intérêt est d'en terminer avec Bachar el-Assad" et a assuré que Paris participait aux efforts diplomatiques internationaux en cours."Nous devons avoir avec la Russie cette discussion franche pour la convaincre que son intérêt, l'intérêt de la région, et l'intérêt de la...
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