Cette demande avait été faite le 27 avril dernier par les sept députés du Front de lutte nationale, à savoir Walid Joumblatt, Ghazi Aridi, Akram Chehayeb, Nehmé Tohmé, Élie Aoun, Alaëddine Terro, Waël Bou Faour, ainsi que par leurs collègues, Farid Makari, Ahmad Karamé et Marwan Hamadé.
Dans un communiqué, le Conseil constitutionnel a indiqué ne pas avoir trouvé de raisons pour invalider cette loi puisqu'elle ne viole pas la Constitution ou les conventions signées par le Liban.
Le 10 avril dernier, le Parlement avait approuvé la proposition de loi prévoyant la suspension de tous les délais prévus par la loi électorale en vigueur (c’est-à-dire la loi n°25 du 8 octobre 2008, basée sur la loi de 1960).
Les députés du Front de lutte nationale avaient boycotté cette séance parlementaire, tout en mettant en garde contre un vide constitutionnel engendré par la prolongation du mandat de la Chambre.
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