La Russie a condamné lundi les attentats du week-end en Turquie et a demandé une enquête minutieuse sur ce crime "barbare", dans lequel Ankara voit la main de Damas qui nie toute responsabilité.
"Nous condamnons fermement ces actes terroristes et présentons nos condoléances au gouvernement et au peuple turcs et aux proches des victimes de ce crime barbare", a déclaré le ministère russe des Affaires étrangères dans un communiqué.
"Ces événements exigent une enquête minutieuse. Les coupables doivent être punis", a ajouté la diplomatie russe.
"Nous espérons que ces événements tragiques n'entraîneront pas une escalade de la situation dans la région", a encore déclaré le ministère.
La double explosion de samedi dans la ville frontalière turque de Reyhanli a fait 48 morts et plus d'une centaine de blessés.
Les autorités turques ont accusé samedi le gouvernement syrien d'être responsable de l'attentat. Elles ont estimé que Damas avait ainsi franchi une "ligne rouge" et que cela les autorisait à "prendre toute mesure" en représailles.
Damas a nié dimanche toute implication dans l'attentat et a accusé en retour le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan.
La Turquie soutient la rébellion syrienne dans son conflit avec le régime de Damas et accueille quelque 400.000 réfugiés syriens sur son sol.
La Russie est l'un des derniers soutiens au régime syrien, auquel elle livre des armes.
"Nous condamnons fermement ces actes terroristes et présentons nos condoléances au gouvernement et au peuple turcs et aux proches des victimes de ce crime barbare", a déclaré le ministère russe des Affaires étrangères dans un communiqué.
"Ces événements exigent une enquête minutieuse. Les coupables doivent être punis", a ajouté la diplomatie russe.
"Nous espérons que ces événements tragiques n'entraîneront pas une escalade de la situation dans la région", a encore déclaré le ministère.
La double explosion de samedi dans la ville frontalière turque de Reyhanli a fait 48 morts et plus d'une centaine de blessés.
Les autorités turques ont accusé samedi le gouvernement syrien d'être responsable de l'attentat. Elles ont estimé que Damas avait ainsi franchi une "ligne rouge" et que cela les autorisait à "prendre toute mesure" en représailles.
Damas a nié dimanche toute implication dans l'attentat et a accusé en retour le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan.
La Turquie soutient la rébellion syrienne dans son conflit avec le régime de Damas et accueille quelque 400.000 réfugiés syriens sur son sol.
La Russie est l'un des derniers soutiens au régime syrien, auquel elle livre des armes.
La Russie a condamné lundi les attentats du week-end en Turquie et a demandé une enquête minutieuse sur ce crime "barbare", dans lequel Ankara voit la main de Damas qui nie toute responsabilité."Nous condamnons fermement ces actes terroristes et présentons nos condoléances au gouvernement et au peuple turcs et aux proches des victimes de ce crime barbare", a déclaré le ministère russe...
Les plus commentés
L'UE annonce un financement pour le Liban d'un milliard d'euros, jusqu'en 2027
« Viens prendre un café » : quand « L’Orient-Le Jour » passe à la censure
Ils utilisaient TikTok pour commettre des agressions sexuelles sur des mineurs : six suspects arrêtés au Liban