Sur un autre plan, le porte-parole de l’Armée syrienne libre, Fahd el-Masri, a estimé hier que « le Hezbollah, en intervenant militairement dans la crise syrienne aux côtés du régime, a commis un péché historique envers le Liban et la communauté chiite ». « Le Hezb est complice de tous les crimes et les actes terroristes qui se produisent en Syrie », a-t-il affirmé, déclarant que « le parti de Dieu voudrait que le Liban plonge dans la fournaise de la crise syrienne ». Fahd el-Masri avait de même affirmé hier au quotidien al-Raï que « plus de 7 200 combattants du Hezbollah se trouvent actuellement dans la région syrienne de Kousseir, qui est la victime, selon lui, d’un complot irano-syrien ». « Onze villages syriens sont entièrement tombés sous le contrôle du Hezbollah, qui mène ses batailles sous la supervision des pasdaran iraniens », a-t-il ajouté, indiquant que « plus de 110 combattants du parti libanais ont été tués à Kousseir lors des trois derniers jours ».
Liban
Nasrallah n’a pas été en Iran...
OLJ / le 20 avril 2013 à 00h00
Sur un autre plan, le porte-parole de l’Armée syrienne libre, Fahd el-Masri, a estimé hier que « le Hezbollah, en intervenant militairement dans la crise syrienne aux côtés du régime, a commis un péché historique envers le Liban et la communauté chiite ». « Le Hezb est complice de tous les crimes et les actes terroristes qui se produisent en Syrie », a-t-il affirmé, déclarant que « le parti de Dieu voudrait que le Liban plonge dans la fournaise de la crise syrienne ». Fahd el-Masri avait de même affirmé hier au quotidien al-Raï que « plus de 7 200 combattants du Hezbollah se trouvent actuellement dans la région syrienne de Kousseir, qui est la victime, selon lui, d’un complot irano-syrien ». « Onze villages syriens sont entièrement tombés sous le contrôle du Hezbollah, qui mène ses batailles sous la supervision des pasdaran iraniens », a-t-il ajouté, indiquant que « plus de 110 combattants du parti libanais ont été tués à Kousseir lors des trois derniers jours ».
commentaires (2)
Que ce clown - qui a inspiré celui de Saïda - aille se terrer n'importe où et qu'il y reste, on s'en tape complètement.
Robert Malek
17 h 06, le 20 avril 2013