« Nous n’accepterons pas moins que nos droits (en tant que chrétiens), nous n’accepterons pas moins que le projet orthodoxe », a-t-il martelé. Rappelant que les Forces libanaises et les Kataëb ont soutenu cette loi, Michel Aoun a souligné que « l’important est de camper sur cette position » pour que le projet arrive au Parlement.
Critiquant la loi électorale de 1960, en vigueur lors des dernières législatives et qu’il a qualifiée de « loi de Ghazi Kanaan », le chef du CPL a demandé : « Comment cette loi respecte-t-elle le pacte national qui stipule une bonne représentativité de toutes les composantes de la nation ? » Et de poursuivre : « Je ne veux pas un député chiite, sunnite ou druze, je veux que les droits de chaque partie soient respectés. »
Sur un tout autre plan, le général Aoun a démenti avoir réclamé la fermeture des frontières face aux réfugiés syriens.
commentaires (4)
Il y a deux façons de voir les choses...lma première consiste à dire,comme çà on voit en effet qui est quoi et qui.C'est pas faux,c'est même juste.Mais la deuxième consiste à penser que c'est une bonne façon,façon de parler,de consacrer la division de ce qu'il est convenu d'appeler le camp chrétien....c'est pas faux non plus.Ô tempora,ô mores...on est dans la merde!
GEDEON Christian
04 h 53, le 10 janvier 2013