Non retenu hier en équipe de France pour les matches contre le Japon et l’Espagne, le milieu Samir Nasri effectue pourtant un bon début de saison sous les couleurs de Manchester City.
En contraste avec un Euro 2012 très décevant où il s’était surtout fait remarquer en créant la polémique avec les médias, Nasri a commencé l’exercice 2012-13 à un rythme élevé en Premier League.
Le milieu de terrain a marqué un but et donné une passe décisive contre Chelsea dès le Community Shield, traditionnel lever de rideau de la saison entre les vainqueurs du championnat et de la Coupe. Il a réédité cette performance lors du premier match de la saison contre Southampton en marquant le but de la victoire à dix minutes de la fin.
Le Marseillais a continué à être un des grands animateurs de l’attaque des « Citizens » dans les semaines suivantes, alors que son équipe avait tendance à piétiner, même si son compteur statistique n’a pas évolué.
Le 18 octobre au stade Santiago Bernabeu, Nasri a été victime d’une élongation aux ischio-jambiers qui l’a contraint à quitter le terrain à la 35e minute du premier match de Ligue des champions contre le Real Madrid (défaite 3-2).
La blessure a été moins grave qu’on ne l’a craint à un moment et le joueur n’a finalement manqué qu’un match de Premier League avant de faire son retour le week-end dernier en sortant du banc à la 75e minute contre Fulham.
Le Français était titulaire mercredi soir contre le Borussia Dortmund (1-1) en C1, mais s’est montré plutôt discret au sein d’une équipe largement dominée. Ayant touché peu de ballons, il a cédé sa place au Serbe Kolarov à la 56e minute lorsque l’entraîneur Roberto Mancini a voulu colmater les brèches à l’arrière.
La défense étant le talon d’Achille des « Citizens » cette saison (18 buts encaissés en 10 matches toutes compétitions confondues), Nasri doit espérer que cet ajustement n’annonce pas un changement de stratégie permanent. Son temps de jeu pourrait souffrir si l’Italien décidait de donner la priorité à la récupération, qui n’est pas son point fort, aux dépens de la création.
En contraste avec un Euro 2012 très décevant où il s’était surtout fait remarquer en créant la polémique avec les médias, Nasri a commencé l’exercice 2012-13 à un rythme élevé en Premier League.
Le milieu de terrain a marqué un but et donné une passe décisive contre Chelsea dès le Community Shield, traditionnel lever de rideau de la saison entre les vainqueurs du championnat et de la Coupe. Il a réédité cette performance lors du premier match de la saison contre Southampton en marquant le but de la victoire à dix minutes de la fin.
Le Marseillais a continué à être un des grands animateurs de l’attaque des « Citizens » dans les semaines suivantes, alors que son équipe avait tendance à piétiner, même si son compteur statistique n’a pas évolué.
Le 18 octobre au stade Santiago Bernabeu, Nasri a été victime d’une élongation aux ischio-jambiers qui l’a contraint à quitter le terrain à la 35e minute du premier match de Ligue des champions contre le Real Madrid (défaite 3-2).
La blessure a été moins grave qu’on ne l’a craint à un moment et le joueur n’a finalement manqué qu’un match de Premier League avant de faire son retour le week-end dernier en sortant du banc à la 75e minute contre Fulham.
Le Français était titulaire mercredi soir contre le Borussia Dortmund (1-1) en C1, mais s’est montré plutôt discret au sein d’une équipe largement dominée. Ayant touché peu de ballons, il a cédé sa place au Serbe Kolarov à la 56e minute lorsque l’entraîneur Roberto Mancini a voulu colmater les brèches à l’arrière.
La défense étant le talon d’Achille des « Citizens » cette saison (18 buts encaissés en 10 matches toutes compétitions confondues), Nasri doit espérer que cet ajustement n’annonce pas un changement de stratégie permanent. Son temps de jeu pourrait souffrir si l’Italien décidait de donner la priorité à la récupération, qui n’est pas son point fort, aux dépens de la création.
Non retenu hier en équipe de France pour les matches contre le Japon et l’Espagne, le milieu Samir Nasri effectue pourtant un bon début de saison sous les couleurs de Manchester City.En contraste avec un Euro 2012 très décevant où il s’était surtout fait remarquer en créant la polémique avec les médias, Nasri a commencé l’exercice 2012-13 à un rythme élevé en Premier League.Le...