Lili, tu étais certainement habitée par la grâce, une élégance de cœur à nulle autre pareille tout en finesse et discrétion.
J’amais aller chez toi. Partager de tendres moments, des rires, des émotions quand tu évoquais Mano et les histoires de Beyrouth quand on vivait heureux.
Ces moments-là étaient bénis. Je rentrais le cœur léger et plein d’amour. Tu avais cette façon bien à toi de nous accueillir avec effusion et tendresse, même au milieu de tes épreuves.
On se sentait grandis dans cet amour. Cela doit sans doute s’appeler la grâce.
Une grande dame nous a quittés.
Repose en paix, Lili chérie.
Liliane SAADÉ
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