« Avec sa disparition, souligne le communiqué, une page de l’histoire glorieuse du Liban et de la noblesse de la presse a été tournée. Le mois de juin, le “mois de la mort”, n’a pas voulu modifier ses habitudes en faisant disparaître les grands hommes, les hommes de lettres, les ténors de la politique et de la diplomatie. Il nous a arraché à l’aube (d’hier) Ghassan le père, le maître et l’ami, comme il nous avait arraché en plein jour le martyr Samir Kassir. »
Liban
L’hommage de la Fondation Samir Kassir
OLJ / le 09 juin 2012 à 01h38
« Avec sa disparition, souligne le communiqué, une page de l’histoire glorieuse du Liban et de la noblesse de la presse a été tournée. Le mois de juin, le “mois de la mort”, n’a pas voulu modifier ses habitudes en faisant disparaître les grands hommes, les hommes de lettres, les ténors de la politique et de la diplomatie. Il nous a arraché à l’aube (d’hier) Ghassan le père, le maître et l’ami, comme il nous avait arraché en plein jour le martyr Samir Kassir. »
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