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Moyen Orient et Monde

Les relations syro-russes depuis le début de la révolte

2011
- 27 avril : la Russie et la Chine bloquent à l’ONU une déclaration proposée par des pays occidentaux condamnant la répression.
- 13 mai : Moscou met en garde contre un « scénario libyen ».
- 17 août : la Russie continue de livrer des armes à la Syrie (groupe public russe).
- 4 octobre : veto sino-russe à un projet de résolution du Conseil de sécurité condamnant la répression.
- 7 octobre : le président Dmitri Medvedev estime que le régime doit faire des réformes ou partir, mais souligne qu’une telle décision n’est pas du ressort de l’OTAN ou de certains pays européens.
- 17 novembre : Moscou accuse l’opposition de pousser à « la guerre civile ».

2012
- 8 janvier : un groupe de navires de guerre russes accoste dans la base de Tartous, la seule dont dispose la Russie en mer Méditerranée.
- 4 février : 2e veto sino-russe contre une résolution du Conseil de sécurité de l’ONU condamnant la répression.
- 7 février : le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov, accompagné du chef du renseignement extérieur, rencontre Assad à Damas.
- 21 février : le montant des échanges commerciaux entre les deux pays a bondi de 58 % en 2011 pour atteindre 1,97 milliard de dollars (ambassade de Russie à Damas).
- 4 avril : Lavrov : L’opposition syrienne « ne battra pas » les forces d’Assad même si elle est armée « jusqu’aux dents ».
- 13 avril : la Russie a décidé de déployer des navires de sa flotte « en permanence » près des côtes syriennes, au large de Tartous (agence d’État Ria Novosti).
- 26 avril : Moscou accuse l’opposition de recourir à la « tactique du terrorisme ».
- 27 mai : le Conseil de sécurité de l’ONU condamne Damas pour le massacre de Houla, dénonçant dans une déclaration adoptée à l’unanimité, y compris par la Russie, « des bombardements par les chars et l’artillerie gouvernementale contre un quartier résidentiel ».
- 28 mai : Moscou estime que régime et rebelles sont impliqués dans le massacre, arguant de la présence de blessures à bout portant en plus des tirs d’artillerie, et appelle l’Occident à cesser de viser le changement de régime.
- 1er juin : « La Russie ne soutient aucune des parties », déclare le président Vladimir Poutine, qui dément livrer à Damas des armes utilisables dans une guerre civile.
- 3 juin : la secrétaire d’État américaine Hillary Clinton exhorte la Russie à soutenir une transition politique, déclarant que le départ d’Assad doit en être le « résultat ».
- 4 juin : le président de l’UE presse Vladimir Poutine de surmonter les divergences pour éviter une guerre civile, avec pour objectif une « transition » politique.
- 5 juin : visite de Poutine en Chine. La Russie ne considère pas le maintien d’Assad comme une condition préalable pour un règlement du conflit (vice-ministre russe des Affaires étrangères).
2011- 27 avril : la Russie et la Chine bloquent à l’ONU une déclaration proposée par des pays occidentaux condamnant la répression.- 13 mai : Moscou met en garde contre un « scénario libyen ».- 17 août : la Russie continue de livrer des armes à la Syrie (groupe public russe).- 4 octobre : veto sino-russe à un projet de résolution du Conseil de sécurité condamnant la...

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