Une vue aérienne de l’accident permet de se faire une idée de l’ampleur des dégâts. Grzegorz Misiak/Reuters
Au moins 16 personnes ont été tuées et une soixantaine blessées samedi soir dans une collision frontale entre deux trains qui se sont retrouvés sur la même voie à Szczekociny, dans le sud de la Pologne.
« Je peux confirmer 16 victimes. Nous venons d’évacuer une victime des débris. Nous ne pouvons pas en exclure d’autres tant que nous n’aurons pas fouillé entièrement les débris », a indiqué Pawel Fratczak, porte-parole des sapeurs-pompiers. Les autorités poursuivaient hier quant à elles l’identification des victimes. « Jusqu’à présent, nous avons identifié six victimes de la catastrophe ferroviaire à Szczekociny. Parmi elles, se trouve une citoyenne américaine », a déclaré Tomasz Ozimek du parquet régional de Czestochowa, cité par l’agence PAP. En attendant, 56 personnes restaient hospitalisées hier matin, dont l’une dans un état grave, selon la cellule de crise réunie au niveau de la voïvodie de Katowice dans le Sud. Au total, environ 350 personnes se trouvaient à bord des deux trains au moment de l’accident, ont indiqué les chemins de fer polonais.
« Il s’agit de la plus grande catastrophe depuis de longues années », a commenté sur place dans la nuit le Premier ministre polonais Donald Tusk. Pour sa part, le président polonais Bronislaw Komorowski s’est rendu hier matin au chevet des victimes à l’hôpital de Sosnowiec, avant de venir sur les lieux de l’accident. Là, il a rendu hommage aux victimes et déclaré qu’il comptait annoncer un deuil national. Le chef de l’État s’est félicité aussi d’une « opération de sauvetage exemplaire » et du soutien des habitants des villages voisins, venus nombreux pour aider les secouristes. Au total, 450 pompiers, des secouristes et une centaine de policiers ont participé aux opérations de sauvetage.
Une enquête a été ouverte pour tenter de déterminer les raisons de cet accident qui s’est produit sur un tronçon de voie ferrée récemment modernisé selon le ministre des Transports, Slawomir Nowak.
Il s’agit d’une des plus graves catastrophes ferroviaires en Pologne. En 1990, 16 personnes avaient également perdu la vie dans la collision de deux trains à Ursus, dans la banlieue de Varsovie.
(Source : AFP)
« Je peux confirmer 16 victimes. Nous venons d’évacuer une victime des débris. Nous ne pouvons pas en exclure d’autres tant que nous n’aurons pas fouillé entièrement les débris », a indiqué Pawel Fratczak, porte-parole des sapeurs-pompiers. Les autorités poursuivaient hier quant à elles l’identification des victimes. « Jusqu’à présent, nous avons identifié six victimes de la catastrophe ferroviaire à Szczekociny. Parmi elles, se trouve une citoyenne américaine », a déclaré Tomasz Ozimek du parquet régional de Czestochowa, cité par l’agence PAP. En attendant, 56 personnes restaient hospitalisées hier matin, dont l’une dans un état grave, selon la cellule de crise réunie au niveau de la voïvodie de Katowice dans le Sud. Au total, environ 350 personnes se trouvaient à bord des deux trains au moment de l’accident, ont indiqué les chemins de fer polonais.
« Il s’agit de la plus grande catastrophe depuis de longues années », a commenté sur place dans la nuit le Premier ministre polonais Donald Tusk. Pour sa part, le président polonais Bronislaw Komorowski s’est rendu hier matin au chevet des victimes à l’hôpital de Sosnowiec, avant de venir sur les lieux de l’accident. Là, il a rendu hommage aux victimes et déclaré qu’il comptait annoncer un deuil national. Le chef de l’État s’est félicité aussi d’une « opération de sauvetage exemplaire » et du soutien des habitants des villages voisins, venus nombreux pour aider les secouristes. Au total, 450 pompiers, des secouristes et une centaine de policiers ont participé aux opérations de sauvetage.
Une enquête a été ouverte pour tenter de déterminer les raisons de cet accident qui s’est produit sur un tronçon de voie ferrée récemment modernisé selon le ministre des Transports, Slawomir Nowak.
Il s’agit d’une des plus graves catastrophes ferroviaires en Pologne. En 1990, 16 personnes avaient également perdu la vie dans la collision de deux trains à Ursus, dans la banlieue de Varsovie.
(Source : AFP)
Au moins 16 personnes ont été tuées et une soixantaine blessées samedi soir dans une collision frontale entre deux trains qui se sont retrouvés sur la même voie à Szczekociny, dans le sud de la Pologne.« Je peux confirmer 16 victimes. Nous venons d’évacuer une victime des débris. Nous ne pouvons pas en exclure d’autres tant que nous n’aurons pas fouillé entièrement...
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